Crescendo - Hiver 2022
Jason Storah : La seule personne responsable de votre carrière, c'est vous.
Comme beaucoup de personnes qui œuvrent en assurance, Jason Storah, chef de la direction d'Aviva Canada et nouveau président du Conseil des gouverneurs de l'Institut d'assurance, dit s'être retrouvé dans cette industrie plutôt que d'avoir planifié d'y faire carrière. Pendant sa dernière année à l'université, quand est venu le temps de trouver un emploi, M. Storah a été attiré par des entreprises précises plutôt que par certains secteurs d'activité.
« Compte tenu des entrevues auxquelles je me suis présenté, j'aurais tout aussi bien pu me retrouver dans le domaine bancaire ou dans le secteur des biens de consommation courante. Et si j'ai opté pour un emploi en assurance, la vérité est que j'ai fait ce choix uniquement parce que l'entreprise m'offrait la possibilité de voyager et d'utiliser mes compétences en espagnol. Il se trouve que c'était en assurance, mais ce n'est pas l'assurance qui a été le facteur décisif pour moi », explique-t-il.
Son intérêt pour l'assurance s'est accru au fur et à mesure qu'il a travaillé dans ce domaine en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud. « J'ai tout aimé de mon expérience, mais surtout le temps que j’ai passé en Amérique du Sud. Plus particulièrement, la période où j’ai vécu à Buenos Aires a été fantastique, et pas seulement parce que c'est là que j'ai rencontré ma femme! »
M. Storah sait que les histoires comme la sienne sont trop courantes dans notre industrie, et il veut changer cela. « J'entends beaucoup d'histoires de gens qui n'ont pas délibérément choisi de travailler en assurance, mais qui, une fois qu'ils y sont, adorent ça. Cela me dit que nous devons faire un bien meilleur travail et parler de manière proactive de notre industrie, des choses formidables que nous y faisons et des carrières fantastiques que les gens peuvent y avoir. »
En 2002, M. Storah a déménagé au Canada; deux ans plus tard, il s'est joint à Aviva Canada. « Chez Aviva, j'ai eu la chance de travailler dans plusieurs secteurs de l'entreprise. Par exemple, avant d'assumer le poste de chef de la direction, j'ai occupé les fonctions de chef de la gestion des risques et de directeur de la distribution, qui sont des postes et des expériences totalement différents, d'indiquer M. Storah. J'aime faire bouger les choses et surtout m'attaquer à des problèmes que les autres ne pensent pas pouvoir résoudre. Je suis déterminé à laisser les choses en meilleur état que je les ai trouvées, tant chez Aviva que dans les communautés plus vastes servies par notre industrie. »
Lorsqu'on lui demande de citer les principaux facteurs qui perturberont l'industrie au cours des deux à cinq prochaines années, M. Storah en nomme plusieurs petits, dont la technologie, la consolidation du marché, le renforcement de la réglementation, les nouveaux venus, les nouvelles méthodes de travail, la capacité de réassurance tendue et les voitures autonomes.
« Mais la perturbation la plus importante à laquelle notre industrie est confrontée provient des changements climatiques. La prévention des conséquences les plus catastrophiques des changements climatiques est un défi sans précédent pour notre industrie », affirme-t-il.
L'industrie doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour promouvoir la résilience et mieux protéger la population canadienne contre les phénomènes météorologiques violents, mortels et plus fréquents que nous observons, d'ajouter M. Storah. « C'est un vrai problème. Il faudra des années pour le résoudre, mais si nous ne faisons rien, des millions de Canadiens et Canadiennes risquent de se retrouver dans des situations difficiles. Des gens pourraient être incapables de souscrire une assurance abordable ou intéressante ou encore de faire face aux conséquences de sinistres dévastateurs, ou simplement manquer des occasions de mieux se préparer et se protéger pour l'avenir. Je pense que c'est le défi d'une vie dans notre industrie et je tiens à ce qu'Aviva ait un impact positif. »
Les réclamations liées aux phénomènes météorologiques violents ont plus que quadruplé au Canada depuis 2008. En moyenne, au milieu des années 80, l'industrie canadienne de l'assurance enregistrait chaque année 40 millions $ de pertes attribuables à des catastrophes naturelles. Il est désormais normal que les pertes catastrophiques assurées au Canada, dont la plupart sont attribuables aux dommages causés par l'eau, s'élèvent à 2 milliards $ par année. « Si les phénomènes météorologiques catastrophiques deviennent la norme plutôt que l'exception, notre industrie connaîtra des rapports sinistres/primes plus élevés, ce qui exercera une pression sur les primes, et cela pourrait bien finir par rendre l'assurance impossible à obtenir dans certaines parties du pays. Outre leurs répercussions financières, ces sinistres ont un effet dévastateur sur les personnes, les familles et les entreprises. »
Selon M. Storah, pour relever les défis d'affaires et réussir sa carrière dans le domaine de l'assurance, il faut posséder des compétences techniques et générales, ainsi que de l'expérience apportée par différents postes. « Je pense aussi qu'il est utile de déterminer le plus tôt possible quel serait le parcours professionnel idéal. Mais cela ne signifie pas qu'il sera impossible d'en changer. En fait, je pense qu'il est utile de réfléchir aux différentes possibilités. J'ai toujours trouvé plus facile de savoir ce que je ne voulais pas que ce que je voulais. Donc, en éliminant certains postes et secteurs, j'ai pu concentrer mon attention sur les perspectives de carrière qui me convenaient. »
M. Storah est convaincu que chacun peut avoir un impact positif et qu'il est de plus en plus important d’apporter ses valeurs personnelles sur le lieu de travail, afin d'en faire un endroit plus diversifié et inclusif. « Il peut s'agir des fonctions que vous occupez, ou encore des gens formant l'équipe ou l'entreprise dans laquelle vous travaillez, mais cela peut vraiment changer la mesure dans laquelle votre carrière sera riche en défis et épanouissante. »
Voici quelques-uns des plus judicieux conseils de M. Storah pour réussir une carrière en assurance :
- Veillez à bien comprendre votre entreprise. Vous devez toujours connaître les trois à cinq plus importantes choses à savoir au sujet de votre entreprise. Si vous ne les connaissez pas, alors vous ne connaissez pas votre entreprise.
- La communication et les compétences interpersonnelles revêtent toujours une très grande importance. Si vous tissez des relations fondées sur le respect et la confiance mutuels à l'aide d'une bonne communication, vous en arriverez à de plus grandes réalisations, tant individuellement qu'en collaboration avec d'autres personnes.
- Écoutez attentivement les gens afin de bien comprendre ce qu'ils disent et le contexte dans lequel ils le disent.
- Essayez toujours d'avoir un impact positif, qu'il soit petit ou grand.
- N'oubliez pas que la seule personne responsable de votre carrière, c'est vous. Il est important d'avoir des personnes qui vous soutiennent et des mentors, mais en fin de compte, c'est vous qui devez prendre les rênes.
- Essayez de vous entourer de personnes qui sont meilleures que vous ou qui vous obligent à placer la barre plus haut.
- Continuez à apprendre, acceptez d'échouer et préparez-vous à vous adapter rapidement.
Cultivez votre image de professionnel d'assurance agréé ou professionnelle d'assurance agréée
À chaque étape de votre carrière, il est important de continuer à cultiver votre marque personnelle, afin d'aider les autres à comprendre facilement votre proposition de valeur unique.
Une marque personnelle doit être entretenue de la même façon que la marque d'une organisation. Les organisations créent la reconnaissance et la notoriété de leur marque en positionnant correctement les « 4 P » de la combinaison marketing de leur marque.
En fait, lors de l'élaboration de votre stratégie, vous pouvez faire fond sur les éléments de base, soit les 4 P, pour positionner votre marque personnelle. Voici quelques conseils pour commencer :
- Le produit : vous
- Soyez capable de verbaliser vos principaux atouts professionnels dans une déclaration de marque personnelle de 60 secondes. Ceux qui donnent l'impression que c'est facile à faire se sont généralement exercés à dire leur déclaration, l'ont affinée et l'ont mise à jour régulièrement.
- Le prix : votre proposition de valeur personnelle
- Utilisez toutes les fonctionnalités qu'offre LinkedIn. Il peut notamment s'agir de prendre le temps d'obtenir des recommandations de la part de collègues, ou encore d’inclure des insignes numériques représentant vos réalisations au chapitre du perfectionnement professionnel.
- Les plateformes : là où vous êtes visible et, partant, les personnes qui vous voient
- Organisez du contenu, créez-en et participez à vos contenus favoris sur LinkedIn ainsi que sur d'autres plateformes de médias sociaux. Assurez-vous de lire tout ce à quoi vous participez afin de veiller à ce qu'il y ait concordance avec votre marque personnelle et que votre leadership d'opinion de premier ordre soit mis en évidence.
- Le positionnement : votre message professionnel
- Racontez votre propre histoire authentique. Votre histoire a le pouvoir de vous amener exactement là où vous devez être.
En tant que PAA, vous avez l'avantage supplémentaire et unique d'avoir à vos côtés l'Institut d'assurance du Canada, qui rappellera à tous la valeur de votre titre de PAA lors de sa prochaine campagne publicitaire nationale.
« La campagne soulignant le fait que personne n’en fait autant que les PAA vise à faire connaître votre valeur en tant que PAA, déclare Peter Hohman, MBA, FCIP, ICD.D., président et chef de la direction de l'Institut d'assurance du Canada. Elle permettra de promouvoir, tant auprès du public qu'auprès des participants de l'industrie, les avantages de travailler avec des titulaires du titre de PAA. Notre trousse publicitaire a une nouvelle apparence qui nous enthousiasme. Ces toutes nouvelles publicités illustrent la valeur considérable que nos diplômés et diplômées apportent à l'industrie et à leurs collectivités. »
Les médias auxquels nous ferons appel au cours de l'impressionnante campagne publicitaire qui sera menée partout au pays comprendront la télévision, la télévision connectée ainsi que les appareils mobiles et électroniques, par l'intermédiaire des principales chaînes canadiennes. La campagne inclura de nouvelles annonces télévisées et affichées sur des panneaux-réclames, de nouvelles vidéos numériques et de la publicité programmatique très ciblée.
Gardez l'œil ouvert en janvier et février 2023 pour voir, entre autres sur les réseaux de Bell Globemedia et de la CBC, la nouvelle campagne publicitaire montrant que personne n'en fait autant que les PAA.
Le cours C39 fait ressortir que la fraude, ça concerne tout le monde
Le cours C39 – La fraude : sensibilisation et prévention est une composante cruciale du programme de PAA. Le cours montre les façons dont la fraude peut survenir au cours du processus d'assurance et les moyens dont l'industrie de l'assurance dispose pour les contrer.
La fraude à l'assurance n'est pas un phénomène nouveau, mais comme les fraudeurs utilisent des méthodes de plus en plus perfectionnées, le sujet de ce cours est particulièrement d'actualité. Rebecca Stuart-Smith, responsable du service à la clientèle chez Aha Insurance, Josh Toombs, directeur du service des sinistres et conseiller juridique interne chez PEI Mutual Insurance, Lori Senecal, souscriptrice en assurance des particuliers chez Algoma Mutual Insurance et Francis Frimpong, adjointe au service des sinistres chez SGI Canada nous ont parlé de leur expérience du cours et des enseignements qu'ils ont trouvé les plus utiles.
Mme Senecal a choisi le cours C39 comme cours au choix après que des collègues le lui aient recommandé. « Ils ont dit qu'il était intéressant, pertinent pour mon travail et une excellente source d'information pour moi. »
Mme Frimpong indique qu'elle avait suivi les cours C11 et C110, qui abordaient brièvement certains aspects de la fraude à l'assurance, ce qui a piqué sa curiosité. « Je voulais en savoir davantage sur le problème et sur la manière dont je pouvais contribuer à la solution. J'ai acquis la conviction que le C39 était le cours dont j'avais besoin. »
Mme Stuart-Smith a pris conscience des préoccupations croissantes relatives à la fraude et estimé que plus elle pourrait s'armer de connaissances, mieux ce serait.
M. Toombs a opté pour le cours parce que la détection et la gestion du risque de fraude sont des composantes essentielles de son travail; il était donc logique pour lui d'en apprendre davantage sur la gestion de ce risque.
M. Toombs a ajouté qu'à son avis, l'assurance est un domaine particulièrement exposé à la fraude. « La menace englobe les cas de fraude criminels, y compris les incendies criminels, mais aussi l'exagération du coût déclaré des biens meubles faisant l'objet d'une réclamation, affirme-t-il. Il est essentiel que les professionnelles et professionnels d'assurance sachent reconnaître les différentes formes de fraude à l'assurance. »
Mme Senecal partage cette opinion : « la fraude touche tout le monde; nous devons éviter de penser que nous n'y serons jamais confrontés. Le plus important pour tout le monde, c'est la sensibilisation. »
Mme Frimpong aussi est d'avis que la fraude peut grandement nuire à l'industrie de l'assurance. « Contrairement aux marchandises physiques ou à d'autres services intangibles, l'industrie de l'assurance repose sur un niveau de confiance très élevé. La promesse faite aujourd'hui d'indemniser un client en cas de sinistre survenant dans le futur en contrepartie d'une somme (la prime) peut sembler abstraite pour la plupart des gens. Les deux parties (l'assureur et l'assuré) doivent donc faire preuve de bonne foi absolue en ce qui concerne le respect du contrat d'assurance. Ce que la fraude entraîne dans notre industrie, c'est l'érosion de cette confiance. »
Le cours couvre beaucoup de matière. Il porte notamment sur la gestion du risque de fraude au point de vente et sur les éléments fondamentaux de l'enquête, sujets qui concernent des enjeux précis. D'autres sujets, comme la gestion de la fraude à l'assurance dans la société canadienne, ont une portée plus générale. Ces nombreux angles offrent quelque chose d'intéressant pour chaque étudiante et étudiant. « J'ai aimé que l'accent soit mis sur l'applicabilité, dans le monde réel, des principes de prévention de la fraude, ainsi que la présentation des moyens permettant aux assureurs d'enquêter sur la fraude potentielle », a déclaré M. Toombs.
Ce que Mme Senecal a préféré dans le cours, c'est que « vous n'apprenez pas seulement du formateur ou de la formatrice, mais aussi des étudiants et étudiantes qui travaillent dans différents domaines de l'industrie de l'assurance, et qui n'ont donc pas les mêmes antécédents. Vous voyez leur point de vue et en quoi la fraude peut les toucher différemment. »
Mme Stuart-Smith a trouvé que les mises en situation « permettaient de faire le lien entre la matière et la vie réelle », rendant ainsi les leçons plus faciles à retenir.
Mme Frimpong dit que le cours a mis en évidence le peu de connaissances qu'elle avait sur le sujet et lui a permis d'acquérir des connaissances, des compétences et de la confiance. Elle a particulièrement aimé le fait que le cours soit axé sur le futur. « Traditionnellement, les assureurs et les autorités adoptent une attitude réactive face à la fraude, mais le cours présente une approche assez proactive de lutte contre la fraude à l'assurance. Cela m'a permis de connaître des moyens avancés et novateurs, souvent fondés sur des technologies en constante évolution, par lesquels la fraude à l'assurance peut continuer.
Mme Senecal a été heureuse de découvrir que le cours avait des applications pratiques dans son poste actuel. « J'ai trouvé que ce cours m'aidait dans mon travail. Le cours a mis en évidence tous les signaux d'alarme dont il faut être à l'affût tout au long du processus de souscription, de la proposition au contrat d'assurance et au renouvellement. J'ai également appris que le fait d'avoir de bonnes relations professionnelles avec les courtiers et courtières peut faciliter la lutte contre la fraude. »
M. Toombs a eu une expérience similaire. « J'ai trouvé les principes très utiles pour la gestion du risque de fraude dans notre service des sinistres. »
Mme Frimpong travaillait en tant qu'experte en sinistres en assurance de biens lorsqu'elle a suivi le cours. « Grâce au C39, je suis devenue la "vieille dame sage" à qui mon équipe s'adresse en présence de possibles signaux d'alarme! » Les avantages se sont répercutés sur son nouveau rôle d'analyste des sinistres : « En suivant le C39, je me suis mieux positionnée pour identifier, atténuer et contrer les éléments de fraude avec assurance, tout en équilibrant les intérêts de mes clients (les assurés) et ceux de l'entreprise. Les notions du C39 ont inspiré ma contribution aux politiques de prévention de la fraude qui ont été développées dans l'entreprise. »
Mme Stuart-Smith estime que ses acquis sont utiles dans son poste actuel et qu'ils le resteront dans ses postes ultérieurs, « car le cours m'a donné des outils à utiliser au quotidien, dans mon travail et mes interactions, pour me protéger de la fraude potentielle ».
Lorsqu'on lui a demandé de donner des conseils aux personnes qui envisagent de suivre le cours C39, Mme Senecal a répondu qu'il leur ouvrirait les yeux. « Préparez-vous à voir à quel point la fraude à l'assurance touche tout le monde. On sait que la fraude à l'assurance existe, mais on n'en connaît pas vraiment tous les effets avant d'avoir suivi le cours. »
Mme Stuart-Smith partage cette opinion. « La fraude est partout; plus les gens disposent d'outils et de connaissances, mieux ils peuvent se protéger et protéger leur employeur. Tout le monde y gagne! »
M. Toombs a conseillé à toutes les personnes qui commencent le cours de garder l'esprit ouvert. « La matière est intéressante et utile pour les professionnelles et professionnels d'assurance de tous horizons. »
Pour les employeurs, le message est simple selon lui. « Les compagnies d'assurance qui disposent de personnel formé pour reconnaître et atténuer la fraude obtiendront de meilleurs résultats techniques, ce qui, en fin de compte, leur permettra de maintenir des primes stables et abordables. »
C'est là une situation avantageuse pour tous.
Cours du PAA : changements au mode d'apprentissage autonome
À partir de 2023, les personnes inscrites au programme de PAA de l'Institut d'assurance commenceront à voir des changements dans la façon dont les cours en mode d'apprentissage autonome seront offerts et notés. En effet, des ressources d'apprentissage en ligne améliorées et de nouvelles évaluations en ligne feront leur apparition.
Les personnes qui suivront cet hiver le cours C32 – Les dommages corporels en mode d'apprentissage autonome seront dirigées vers un cours en ligne contenant des ressources qu'elles pourront utiliser à leur propre rythme. Bien que certains éléments soient similaires à ce qui se trouve actuellement dans le tutoriel en ligne, le nouveau cours en ligne remplacera le tutoriel et fournira des ressources améliorées, telles que des résumés de leçon dynamiques, des mises en situation interactives supplémentaires et des balados.
Ces contenus seront facultatifs pour la plupart, ce qui permettra aux étudiants et étudiantes de travailler avec les ressources qu'ils jugent les plus utiles. Cependant, les personnes qui ont opté pour l'apprentissage autonome devront aussi effectuer trois évaluations obligatoires, soit deux tests et un examen de mi-session. Ensemble, ces évaluations compteront pour 100 points, ce qui reprend la structure de notation utilisée pour les cours du PAA qui sont donnés en ligne ou en classe. Ces évaluations obligatoires remplaceront les exercices facultatifs qui étaient auparavant utilisés dans les cours en apprentissage autonome.
« Jusqu'à présent, le résultat global pour un cours en apprentissage autonome dépendait presque entièrement du résultat obtenu à l'examen final, explique Orville Andrews, directeur, innovation et technologies d’apprentissage à l’Institut. Les exercices facultatifs du manuel permettaient de gagner quelques points supplémentaires, mais la majeure partie de la note attribuée pour un cours en apprentissage autonome provenait de la note de l'examen. Avec l'introduction de ces évaluations supplémentaires, les personnes qui suivront leur cours en mode d'apprentissage autonome pourront connaître une bonne partie de leurs résultats avant de passer l'examen final. Cela les placera sur un pied d'égalité avec les personnes qui suivent leur cours en ligne ou en classe. »
Les nouvelles évaluations offriront également comme avantages des délais de réalisation plus souples que les anciens exercices, de même que des résultats rapides. L'examen de mi-session et les deux tests se composeront uniquement de questions à choix multiple. Ils seront donc notés automatiquement et les résultats seront disponibles dès que les tests auront été complétés. Et contrairement aux exercices, qui devaient être envoyés tôt au cours de la session aux fins de la notation manuelle, les nouveaux tests notés automatiquement pourront être effectués n'importe quand pendant la session, à condition que les trois soient effectués avant la date limite.
Même si ces changements seront plus évidents pour les personnes ayant choisi l'apprentissage autonome, ils font partie d'un effort plus large visant à assurer une expérience d'apprentissage cohérente dans les trois modes d'apprentissage offerts pour les cours du PAA.
« Les ressources en ligne accompagnant les cours en apprentissage autonome seront également mises à la disposition des personnes qui suivent des cours en ligne et serviront de compléments aux cours en classe, d'expliquer M. Andrews. L’ensemble des ressources seront centralisées dans notre système de gestion de l’apprentissage, puis dirigées vers chaque espace individuel de cours. Les formateurs et formatrices en ligne et en classe pourront encore ajouter leurs propres ressources ou évaluations et faire profiter les étudiants et étudiantes de leur propre bagage, mais tout le monde aura accès à la même information de départ. »
Quel que soit le mode d'apprentissage, toutes les personnes inscrites au programme de PAA passeront encore un examen final comptant pour 200 points.
Les cours en ligne virtuels sont populaires depuis longtemps auprès des personnes inscrites au programme de PAA et, pour bon nombre d'elles, ils offrent le meilleur des deux mondes : la possibilité d'assister à des séances en direct et d'interagir avec une formatrice ou un formateur, ainsi que celle de réviser les cours à leur propre rythme si elles le souhaitent (toutes les séances sont enregistrées) et de se connecter depuis leur domicile ou le bureau au lieu de se déplacer pour assister aux cours.
Mais pour les personnes qui se sentent à l'aise à l'idée d'étudier de façon autonome, l'accès à un formateur ou une formatrice et à des séances en classe est moins important que la possibilité de gérer entièrement leur emploi du temps tout au long de la session. L'apprentissage autonome est depuis longtemps leur approche préférée. Grâce à ces nouvelles améliorations, les personnes continueront à avoir la possibilité d'étudier à leur rythme, tout en bénéficiant de ressources d'apprentissage enrichies et d'une approche commune d'obtention des points menant à leur résultat final.
Cette nouvelle approche d'apprentissage autonome sera mise à l’essai dans le cadre du cours C32 – Les dommages corporels dès la session d’hiver 2023. Elle sera ensuite appliquée aux autres cours du programme de PAA par lots à partir de la session d’automne 2023.
Pour de plus amples renseignements : apprentissage autonome
L'éthique et la séparation de dossiers
Votre opinion est importante pour nous! Nous aimerions connaître votre opinion sur notre tout dernier problème d’ordre éthique.
En présentant à nos membres des situations fictives, nous visons à susciter la discussion sur des situations ambiguës qui peuvent soulever des enjeux d’ordre éthique. Dans le dernier numéro de Crescendo, nous avons publié un échantillon de vos commentaires portant sur une situation fictive qui se déroulait dans une petite localité.
Dans le présent numéro, nous vous présentons une nouvelle situation ambiguë, au sujet de laquelle nous aimerions connaître votre opinion. Nous comptons publier, dans un futur numéro de Crescendo, certains des commentaires les plus pertinents que nous recevrons de nos diplômés et diplômées, pour que l’ensemble de nos membres puisse en profiter.
Voici la situation sur laquelle vous devez vous pencher :
Dans les nouvelles de l'industrie, la directrice diligente d'un service des sinistres apprend que les tribunaux ont rendu une décision de séparation de dossier à l'encontre d'un assureur, dans le cadre d'une affaire concernant des allégations de mauvaise foi pour fraude, estoppel et manquement à la protection du consommateur. Dans cette affaire récente, l'assureur n'avait affecté qu'un seul expert en sinistres au dossier. Cet expert avait la responsabilité de défendre l'assuré d’une part et de régler la réclamation au nom de l'assuré d’autre part.
Des problèmes étaient survenus parce qu'un seul expert en sinistres avait été affecté au dossier, lequel consistait en un sinistre de responsabilité civile. Après avoir examiné les questions liées à la défense et à la garantie, l'expert en sinistres pouvait omettre de défendre pleinement l'assuré, sachant que l'assureur pourrait plus tard estimer que la garantie ne s'applique pas ou refuser de régler le sinistre. Le recours à un seul expert en sinistres donnait aussi à ce dernier accès à des renseignements confidentiels ou privilégiés pouvant être utilisés en faveur de l'assureur et à l'encontre de l'assuré.
La directrice du service des sinistres connaît aussi l'activité des organismes d'encadrement concernant l'amélioration des lois sur les pratiques commerciales qui interdisent les pratiques déloyales et trompeuses. Des lignes directrices portant notamment sur le traitement équitable de la clientèle ont été introduites pour renforcer la responsabilité des assureurs, qui doivent agir dans l'intérêt supérieur de leur clientèle par des actions telles que l'évitement ou la gestion des conflits d'intérêts et le règlement équitable des sinistres.
Au vu de l'ensemble de ces renseignements, la directrice du service des sinistres détermine qu'au moins deux dossiers complexes de responsabilité civile auxquels travaille son équipe présentent un risque de conflit d'intérêts. Son chef, cependant, fait pression pour que les coûts d'expertise des sinistres et les frais juridiques demeurent peu élevés. La directrice du service des sinistres sait que la séparation des dossiers est l'idéal dans ces deux cas, mais ne sait pas quelle est la meilleure façon d'en informer son chef.
Que feriez-vous à la place de la directrice du service des sinistres?
Mise en situation préparée par Heather Winters, FCIP, membre du Conseil de la Société des PAA.
Dites-nous ce que vous feriez. Envoyez-nous vos réponses par courriel; nous les publierons dans un futur numéro de Crescendo. Nous avons hâte de lire vos commentaires!
Faits intéressants sur l’assurance
Vous croyez que l’assurance est un domaine ennuyeux? Détrompez-vous. Jetez un œil à ces faits intéressants.
- Il existe une assurance contre les hésitations ou le changement de sentiments qui couvre la partie finançant le mariage (mais pas les personnes qui envisageaient de se marier). Cette assurance coûte généralement de 1 à 1,5 % du coût du mariage. Il existe toutefois une disposition importante : la réclamation doit être présentée au moins 365 jours avant la date du mariage. Il faut donc réaliser bien à l'avance que la personne n'était finalement pas son âme sœur.
- Daniel Craig a fait assurer son corps pour 7,7 millions $ pendant le tournage de sa première apparition en tant qu'agent 007 dans le film Casino Royale, en 2006. Lors du tournage de la suite (007 Quantum) en 2008, son corps a été assuré pour 9,5 millions $. Daniel Craig aime faire ses propres cascades, car il estime que l’auditoire paie pour le voir lui.
Nouvelles de la Société des PAA
Lauréates des prix nationaux du leadership 2022
Les prix nationaux du leadership de la Société des PAA permettent de souligner le travail et les réalisations de nos leaders en assurance. Chaque année, la Société reçoit des mises en candidature provenant de personnes œuvrant dans l’industrie de l'assurance de dommages. Les personnes qui reçoivent les prix connaissent la réussite professionnelle, montrent leur engagement envers la formation continue et font preuve d'un grand dévouement envers les collectivités dans lesquelles elles travaillent et vivent.
« C’est un honneur de les compter parmi nos membres. Nous avons hâte de célébrer leurs réussites avec des pairs de l’industrie », déclare Rosalind Staples-Simpson, présidente du Conseil des professionnels.
Leader actuelle
Carol Jardine, FCIP, CRM, ICD.D
La Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa
« Tout ce que Carol fait sur le plan du leadership et de la communication repose sur sa conviction que l'assurance est une profession noble qui améliore la vie des gens », écrit la personne qui a mis Carol en candidature. Carol est une leader d'opinion dans l'industrie et une mentor respectée; elle a eu un impact sur toutes les personnes qui ont collaboré avec elle au cours de sa carrière d'une quarantaine d'années.
Leader en devenir
Renée-Léa Soucy, PAA
Compagnie d’assurance générale/Groupe Co-operators
« Renée-Léa a la capacité à participer à l’atteinte d’un objectif partagé, à collaborer avec les autres et à privilégier la réussite du groupe plutôt que sa réussite individuelle, elle démontre au sein du groupe, l’esprit d’équipe », d'indiquer la personne qui a mis Renée-Léa en candidature. Les collègues de Renée-Léa aiment son engagement à mettre les personnes au premier plan de tout ce qu'elle fait; elle dirige avec enthousiasme et gentillesse.
Les lauréates de cette année recevront une sculpture unique et seront admises dans le Cercle du leadership de la Société des PAA lors des prochains galas. Mme Jardine participera au gala de l'institut d'assurance du Manitoba le 9 novembre 2022 et à celui de l'institut d'assurance de l'Ontario (section du Grand Toronto) le 1er février 2023. Mme Soucy recevra son prix lors du gala qui se tiendra à Montréal en mars 2023.
Apprenez-en davantage sur les lauréates des prix nationaux du leadership 2022.
Le babillard
Conseil des gouverneurs 2022-2023 de l’Institut
Président : * Jason Storah, BA (Hons) Economics (Aviva Canada)
Présidente suppléante : * Valérie Lavoie, BASc (Desjardins)
Vice-président représentant
l’ensemble des membres : *James Russell, B.Math., FCIA (TD Assurance)
Présidente sortante : *Heather Masterson, BA, B.Ed., FCIP (Travelers Canada)
Vice-présidents régionaux :
*Lisa Desgagné, PAA (Northbridge Assurance) (Québec)
*Joanne Hampson, FCIP (retraitée) (Provinces de l’Ouest)
*Dave Smiley, B.Sc., FCIP (Ecclesiastical Insurance) (Ontario)
*Helen O'Donnell, CIP, CRM (retraitée) (Provinces de l'Atlantique)
Les personnes qui présideront les comités permanents pour 2022-2023 sont les suivantes :
Comité de direction : *Valérie Lavoie, B.Sc.A. (Desjardins)
Division de l’enseignement : *Paul Croft, BA, B.Sc., CIP, CRM, CCIB (Aon Canada)
Division des professionnels : *Rosalind Staples-Simpson, B.Comm., FCIP (Intact Assurance)
*= membre du comité de direction
Le reste du Conseil des gouverneurs est composé de représentantes et représentants des instituts ou sections :
Terre-Neuve-et-Labrador :
Denise Roche, ACIP, CRM, CAIB (Anthony Insurance Inc.)
Tina Rowntree, FCIP, CRM (Wedgewood Insurance)
Île-du-Prince-Édouard :
Sarah Dawson, CIP (Travelers Canada)
Nouvelle-Écosse :
Joe Gariepy, CIP, CRM (Totten Group)
Kelly Leydon, FCIP (TD Assurance)
Nouveau-Brunswick :
Richard Ravn, FCIP, CRM (Asurion)
Marie Clifford, FCIP (Aviva Canada)
Québec :
Alex Stringer, FPAA, CRM (DPA Assurances)
Mathieu Gagnon, FPAA, CRM (Vézina Assurances Inc.)
Ontario:
Andrew Steen, CIP (Berkeley Canada)
Tracy Krunic, BBA, FCIP (Canada Brokerlink (Ontario) Inc.)
Dave Penstone, FCIP, CRM (Kent and Essex Mutual)
Alana Halapija, FCIP, CRM (Intact Assurance)
Victoria Hanson, BA, RVP, RRP, CVP, CRM, ACS, CIP (Crawford & Company (Canada)
Zack Tisdale, BMath, FCIP, AIDA (Commonwell Mutual Insurance Group)
Thomas Watson, CD, CIP (Guardsman Insurance Services)
Lisa Vercillo, CIP, CRM (Magenta Insurance Professionals Inc.)
Manitoba:
Jennifer Scott, CIP, CIM (Société d’assurance publique du Manitoba)
Morgan Mackenzie, BA, CIP, CAIB (Western Financial Group Insurance)
Saskatchewan
Debra Bachek, FCIP (SGI Canada)
Lori Madsen, CIP (CAA Insurance)
Sud de l’Alberta :
Christa Cole, CIP (Co-operators)
Darius Delon, MBA, FCIP, CRM, RIMS–CRMP (Risk Management 101)
Nord de l’Alberta :
Ingrid Butler-Sieben, FCIP (Aviva Canada)
Shelora Lopez, CIP (Co-operators)
Colombie-Britannique :
Debra Copeland, BA, FCIP (Intact Assurance)
Vicki Rowan, FCIP, CRM (Optimum West Insurance Co.)
Janine Marchi, BSc, LLB, CIP (ICBC)
Encore une fois cette année, le Conseil des gouverneurs regroupe des membres provenant de toutes les régions du Canada et de tous les secteurs de l’industrie; il serait difficile d’imaginer un groupe plus représentatif.
Communiquez avec votre représentante ou représentant afin de lui faire part de vos commentaires sur les programmes et les services de l’Institut. Les membres d’une association doivent s’impliquer. Votre opinion est importante pour nous!
Au tableau d’honneur
Le titre de PAA est prestigieux en soi. Mais un titre de PAA avec distinction l’est encore plus. Ce titre est octroyé aux personnes qui réussissent huit des dix cours du programme avec distinction. Cette année, le titre de PAA avec distinction a été octroyé aux personnes suivantes :
Colombie-Britannique
Sobia Chaudry
Peak Products Manufacturing Inc. (Colombie-Britannique)
Sanja Darman
International Programs Group (IPG) (Colombie-Britannique)
Joyce Deduque (Colombie-Britannique)
Komal Deep Kaur Josan (Colombie-Britannique)
Yong Hee Brian Lee
Municipal Insurance Association of BC (Colombie-Britannique)
Kurt Russell
Intact Assurance (Colombie-Britannique)
Jordan Stickley
Intact Assurance (Colombie-Britannique)
Ivy Tam
Northbridge Commercial Insurance Corporation (Colombie-Britannique)
Kim Tran
Economical Insurance (Colombie-Britannique)
Chontelle Kristen Tuck
BFL CANADA (Colombie-Britannique)
Sarah Jean Verwey
Insurance Corporation of BC (Colombie-Britannique)
Manitoba
Daniella Lydia Garofoli
Société d’assurance publique du Manitoba (Manitoba)
Nord de l’Alberta
Sarah Ashley Ainsley
Alberta Motor Association Insurance Agency Ltd (nord de l'Alberta)
Marisa Berezowski
Aon Reed Stenhouse Inc. (nord de l'Alberta)
Kevin Miske
MHK Insurance Inc. (nord de l'Alberta)
Ontario
Catherine Barnet (Ontario – Section du Grand Toronto)
Jennifer Begley
Victor Insurance (Ontario – Ottawa)
Apurav Bharti
Arthur J. Gallagher Canada Limited (Ontario – Section du Grand Toronto)
Joan Chau
Wawanesa Mutual Insurance Co. (Ontario – Section du Grand Toronto)
Simone de Souza Tavares
Aviva Canada Inc. (Ontario – Section du Grand Toronto)
Jesse Durkin
Brokerlink Inc. (Ontario – Section de Conestoga)
Rayhanah Haffejee
Chubb Insurance Co. of Canada (Ontario – Section du Grand Toronto)
Natalie King
Algoma Mutual Insurance (Ontario – Section de Cambrian Shield)
Anny Lamontagne
Intact Assurance (Ontario – Ottawa)
Kristyn Danielle Leeder
Intact Assurance (Ontario – Section de Kawartha/Durham)
Michelle Lewis
Coachman Insurance Company (Ontario – Section du Grand Toronto)
Victoria Louise Josephine Lia
Aviva Canada Inc. (Ontario – Section de Kawartha/Durham)
Sarah MacRae
Aviva Canada Inc. (Ontario – Section de Hamilton/Niagara)
Sarah Jane Orford
Intact Insurance Company (Ontario – Section du Grand Toronto)
Mark Shlafshtein
Aviva Canada Inc. (Ontario – Section du Grand Toronto)
Rebecca Leanne Simpson
Intact Assurance (Ontario – Ottawa)
Jaswaran Singh
Brokerlink Inc. (Ontario – Section du Grand Toronto)
Deepak Singhal
Co-operators (Ontario – Section du Grand Toronto)
Shelly Vijan
RBC Insurance Agency Ltd (Ontario – Section du Grand Toronto)
Janice Zijlstra
Algoma Mutual Insurance (Ontario – Section de Cambrian Shield)
Quebec
Stéphanie Beaupré
Co-operators (Québec)
Karina Colagrosso
Aviva Canada Inc. (Québec)
Roxanne Gagnon
Prysm Assurances générales (Québec)
Johanne Lussier
Intact Assurance (Québec)
Geneviève Racine
Intact Assurance (Québec)
Valérie Savary
Northbridge Assurance (Québec)
Toutes nos félicitations à ces diplômées et diplômés exceptionnels!
Bourses d’études : un coup de main aux étudiantes et étudiants
L’Institut administre trois programmes : la bourse d’études Lloyd King, le fonds d’éducation en assurances John E. Lowes et la bourse d’études Toronto Insurance Council.
Chacun de ces programmes offre aux étudiantes et étudiants un coup de pouce financier pendant qu’ils poursuivent leurs études. Nous avons le plaisir d’annoncer les personnes exceptionnelles qui recevront une bourse en 2022 :
Fonds d’éducation John E. Lowes
Michelle Baillie
Collège Mohawk
Joshua Lourenco Owen
Université Wilfrid-Laurier
Bourse d’études Lloyd King
Isabella Burry
Université Memorial de Terre-Neuve
Kendra Whitten
Université Memorial de Terre-Neuve
Félicitations aux personnes qui ont obtenu les bourses d'études de cette année!
Cérémonies de remise des diplômes
Les personnes qui ont récemment décroché leur diplôme ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à l’obtention de leur titre professionnel. Elles méritent que nous leur rendions pleinement hommage. Consultez le site Web de l’Institut d’assurance pour obtenir plus d’information sur les cérémonies virtuelles de remise des diplômes organisées par les instituts régionaux et les sections. Notez à votre agenda l’événement spécial qui vous intéresse afin d’y participer. Appuyez les diplômées et diplômés de votre région.
Toutes nos félicitations à ces diplômées et diplômés!
N'oubliez pas de payer vos frais d'adhésion.
Beaucoup d’étudiantes et d’étudiants ignorent que, pour obtenir leurs notes finales dans la plupart des programmes, ils doivent au préalable payer les frais d’adhésion à leur institut ou section. Les personnes qui n’ont pas encore acquitté ces frais ne pourront pas se connecter à notre site Web pour consulter leurs notes finales ni leur dossier.
Les titulaires de titres professionnels doivent également renouveler leur adhésion afin de pouvoir conserver et utiliser leurs titres professionnels. Les personnes qui n'auront pas payé leurs frais d'adhésion à temps perdront l'accès à leurs avantages et à leurs services.
Vous ne savez pas si vos frais d’adhésion ont été payés? Rendez-vous au www.insuranceinstitute.ca/fr, cliquez sur « Connexion », puis suivez les instructions. Une fois la connexion établie, cliquez sur l’onglet « Profil » dans le menu en haut de la page, puis sur « Mon statut de membre » dans le bandeau de gauche. Si vous avez payé vos frais d’adhésion, la date d’expiration indiquée devrait être le 31 mai 2023 (ou une date ultérieure). Si vous n’avez pas payé vos frais d’adhésion, cliquez sur « Renouvellement de l’adhésion » pour régler vos frais pour l’année en cours. Si vous avez suivi des cours ou passé des examens et que vous voulez connaître vos notes, cliquez sur « Formation » dans le menu en haut de la page, puis sur « Mes cours » dans le bandeau de gauche.
Évitez les déceptions : renouvelez votre adhésion chaque année.
Joyeux temps des… examens
Depuis le printemps 2017, les examens de tous les cours du programme de PAA et du programme d’Introduction aux assurances IARD sont informatisés. De plus, en raison de la pandémie de COVID-19, tous les examens de ces deux programmes sont offerts en télésurveillance.
Depuis la période d’examens de juillet 2022 (celle de la session de printemps), les étudiants et étudiantes ont l’option de faire leur examen selon le mode d’examen en télésurveillance, ou encore en personne dans l’un des centres d’examen de l’Institut.
La télésurveillance consiste dans le recours à une personne qui surveille à distance, grâce à une webcaméra, le déroulement de l’examen. Cette personne vous aide aussi à résoudre les problèmes techniques.
Vous pouvez passer vos examens en personne aux bureaux de votre institut ou dans certains centres externes. Le choix du centre d’examen se fait au moment de l’inscription à l’examen. Si vous souhaitez passer un examen en personne, réservez votre place le plus rapidement possible, car la capacité des centres d’examen est limitée.
Une fois votre inscription à l’examen terminée, vous pouvez sélectionner la date et l’heure d’examen parmi celles qui sont présentées ci-dessous. Vous recevrez ensuite un courriel de confirmation. Le détail de votre examen figurera alors dans le portail d'examen.
Les examens, dans l'un ou l'autre mode, seront proposés du 1er au 15 décembre. Nous vous recommandons de réserver une plage horaire immédiatement après avoir fait votre inscription à l’examen.
Pour en savoir plus sur les examens, consultez le site Web de l’Institut.
Le temps alloué pour faire l’examen est de trois heures pour les examens du programme de PAA et de deux heures pour ceux du programme d’Introduction aux assurances IARD. Bonne chance!