Crescendo - Hiver 2020





La progression de carrière nécessite des bases solides : Martin Thompson, président du Conseil, Institut d'assurance du Canada, parle de sa réussite professionnelle


Une carrière réussie en assurance commence par de bonnes fondations, estime Martin Thompson, ACII, président et chef de la direction de RSA Canada et président du Conseil de l’Institut d’assurance du Canada. « Choisissez le domaine où jeter les fondations de votre carrière et passez quelques années à vous y spécialiser, explique M. Thompson. Qu’il s’agisse du traitement des sinistres, de la souscription, du marketing, de la tarification ou d’autre chose, il est important de prendre appui sur des bases solides. »

Comme de nombreuses personnes, M. Thompson n’envisageait pas de faire carrière dans l’industrie de l’assurance. « Après mes études universitaires, j’ai vu une offre d’emploi et j’ai pensé que je trouverais une carrière plus facilement si j’avais un emploi. J’ai donc postulé, et c’est ainsi que j’ai commencé à travailler pour RSA à Glasgow en 1997, à titre de préposé aux sinistres atteignant des biens. »

Même si M. Thompson n’y a pas travaillé longtemps, ce poste l’a aidé à apprendre les ficelles du métier. Il a aussi rapidement découvert qu’il aimait beaucoup l’industrie de l’assurance. « J’ai adoré traiter avec les gens et les clients, particulièrement dans le contexte du traitement des sinistres. Il est impossible de traiter un sinistre sans connaître le produit, de sorte que le traitement des sinistres est un bon point de départ pour apprendre les libellés et comprendre la protection réellement consentie au client. »

À l’affût d’une occasion de jouer un rôle plus proactif, M. Thompson s’est intéressé à la souscription et s’est inscrit au programme de perfectionnement des diplômés et diplômées pour accroître ses connaissances et ses compétences. « Ce programme de perfectionnement m’a ouvert des portes et montré où je pourrais aller dans l’industrie. J’ai accepté une série d’affectations en souscription, dont neuf mois à Leeds et deux ans à Liverpool; j’ai ensuite déménagé à Londres en 2001 afin de travailler au siège social », dit-il.

Désireux d’en apprendre plus sur l’industrie et d’en comprendre le fonctionnement, M. Thompson recherchait constamment de nouvelles occasions. Par l’entremise d’un ami, il a eu connaissance d’une offre d’emploi pas encore publiée, et il a décidé de présenter sa candidature. Il a obtenu le poste, mais n’a pas dit à son patron qu’il avait postulé. « Le premier appel que mon patron a reçu, c’est celui de son homologue de Londres, lequel lui a dit qu’il voulait m’offrir le poste. Mon patron m’a ensuite appelé à son bureau pour me dire vertement sa façon de penser. Mon départ prochain le décevait. Mais il reconnaissait aussi qu’il s’agissait là d’une occasion formidable pour moi et il a fini par m’appuyer. J’ai tiré une précieuse leçon de cette expérience. Lorsque les gens vous ont consacré du temps, vous leur devez de montrer clairement vos intentions et de ne pas simplement disparaître du jour au lendemain en les laissant dans le noir. »

Par la suite, M. Thompson est devenu le responsable du portefeuille d’assurance de dommages au Royaume-Uni, puis celui du portefeuille d’assurance multirisque. Un jour, son patron lui a tapé sur l’épaule et lui a annoncé que les dirigeants de la société canadienne lui demandaient de venir les aider pour le volet assurance des entreprises. « Ma première réaction a été de me dire “Je ne vais pas au Canada”. J’adorais ma vie et ma carrière à Londres. Mais j’ai accepté, à contrecœur, d’aller les rencontrer. L’occasion proposée m’a vraiment surpris et j’ai trouvé que Toronto était une belle ville. »

Il a accepté le poste et, en 2008, il est devenu directeur de la souscription, assurance des entreprises pour la société canadienne, assumant ses premières grandes responsabilités de direction. « Je maîtrisais très bien le côté technique, mais je devais grandement me perfectionner sur le plan du leadership. Durant cette période, j’ai donc consacré beaucoup plus de temps et d’effort afin de bien comprendre le leadership et la façon de devenir un bon leader efficace. C’est un domaine dans lequel on ne cesse jamais d’apprendre. »

Deux ans plus tard, M. Thompson a appris que le groupe avait une autre merveilleuse occasion de développement de carrière pour lui : il s’est rendu à Copenhague, où il est devenu directeur de la souscription et directeur de la gestion des risques pour la société scandinave. Enfin, trois ans plus tard, il est rentré au Canada avec sa famille pour se joindre à l’équipe de direction en tant que premier vice-président, assurance des entreprises et branches spécialisées mondiales, son ancien patron ayant quitté RSA. Il a été nommé président et chef de la direction en 2016.

Selon lui, sa progression de carrière a été possible grâce à une vive curiosité à l’égard du fonctionnement de l’industrie, aux excellents mentors qui ont croisé son chemin et à sa recherche d’emplois l’amenant à se dépasser. « Je trouve que me sentir légèrement mal à l’aise dans un poste exigeant un apprentissage rapide est une bonne chose. J’ai aussi eu beaucoup de chance, et presque tous les changements que j’ai faits ont été pour le mieux. »

M. Thompson pense qu’on observera dans l’industrie un bouleversement des attentes du consommateur au cours des prochaines années. « Jusqu’à tout récemment, à mon avis, l’industrie n’a pas fait du très bon travail. Nous n’avions pas à travailler si fort avant pour que les gens utilisent nos produits et, pour les consommateurs, il n’est pas facile de traiter avec les compagnies d’assurance, fait-il remarquer. Nous devons apprendre à simplifier l’ensemble de nos processus et de nos interactions avec les clients. En fin de compte, si nous n’avons pas de solutions pour les problèmes des clients, nous risquons de perdre notre pertinence. »

Il dit que pour les jeunes professionnels, l’assurance est un secteur intéressant où faire carrière. « L’assurance ne disparaîtra pas, parce que les risques ne disparaîtront pas. Comme l’assurance est la pierre angulaire de l’économie, c’est une industrie extrêmement palpitante où se trouver. Essentiellement, elle consiste à aider les gens à vivre leur vie sans se soucier des conséquences financières d’un sinistre. Nous devrions nous estimer très chanceux, car peu d’emplois s’accompagnent d’une telle mission. »

Voici quelques-uns des plus judicieux conseils de M. Thompson pour réussir une carrière :

  • Tout d’abord, veillez à comprendre l’utilité du produit et la manière de le souscrire, de le tarifer et de le gérer. Apprenez les notions fondamentales ainsi que la façon dont le service de la souscription et le service des sinistres travaillent ensemble.
  • Prenez vos titres professionnels au sérieux. Posez des fondations solides, puis trouvez des occasions d’acquérir un degré de connaissances suffisant.
  • Si vous pensez que vous n’apprenez pas dans le cadre de votre emploi, demandez-vous où vous pouvez aller pour accroître vos compétences. Pensez en vue de votre croissance. Par exemple, si vous travaillez en souscription, familiarisez-vous avec de nouvelles branches d’assurance, ou encore, appliquez vos connaissances au service des sinistres ou passez à un poste de développement commercial. Si vous n’apprenez pas, vous n’avancez pas.
  • Faites toujours preuve de curiosité. C’est comme avoir un sac rempli de balles. Plus votre sac contient de balles, c’est-à-dire de compétences, plus il sera facile pour les gens de vous embaucher et plus vous serez en mesure de guetter la prochaine occasion.





Une journée dans la vie de... Ernest Mashingaidze, MBA, CIP, ACS

Expert en sinistres, produits stratégiques à HSB Canada


En tant que professionnels de l’industrie, nous comprenons que l’assurance est intégrée à pratiquement tout ce que nous faisons dans notre vie, tant personnelle que professionnelle. Que vous conduisiez une voiture, exploitiez une entreprise ou payiez votre commande sur Amazon avec votre carte de crédit, l’assurance y joue un rôle.

De nombreuses personnes ne voient pas l’industrie de l’assurance comme un secteur où elles pourraient faire carrière. Les choses ont été différentes pour Ernest. En cinq ans, il a obtenu son titre de CIP, décroché son MBA et été nommé Leader en devenir dans le cadre de la remise des prix nationaux du leadership de la Société des PAA.

Faisons la connaissance d’Ernest et voyons comment il a trouvé sa place en assurance.

Le début de sa carrière et la découverte de l’industrie appropriée

Un bon ami d’Ernest, qui avait obtenu un emploi d’expert en sinistres automobiles, lui parlait régulièrement de son incroyable journée au travail et des divers sinistres auxquels il travaillait. Ernest s’est mis à penser à l’assurance et à en parler un peu plus chaque jour. « Mon ami m’expliquait les différentes techniques d’enquête et comment il aidait différentes personnes traversant une période difficile. Tout cela me semblait beaucoup plus fascinant que mon travail d’alors; j’ai donc su que je voulais me joindre à l’industrie », explique-t-il.

Il a découvert que l’industrie pouvait offrir à chacun un cheminement de carrière unique. « En fait, j’ai commencé en assurance vie et maladie », mentionne Ernest. Il a touché à de nombreux domaines dans l’industrie, de la facturation à l’expertise des sinistres en passant par l’établissement de contrats. Après avoir obtenu son titre de CIP, Ernest est passé à l’assurance de dommages, à son avis le « meilleur côté de l’industrie ».

« Je peux dire que le perfectionnement professionnel continu et les programmes de mentorat ont facilité la progression de ma carrière. Il y a beaucoup de soutien dans cette industrie, il faut simplement demander », affirme-t-il. L’industrie de l’assurance appuie toujours les occasions de formation continue et d’avancement professionnel. Elle vous offre une possibilité de croissance et l’occasion de trouver un emploi qui concorde avec vos objectifs. Ernest est en voie d’obtenir le titre de CRM (Canadian Risk Management) ainsi que celui de FCIP. « Le perfectionnement professionnel m’avait aidé à comprendre les subtilités et la complexité de l’industrie : je me sentais donc prêt à assumer plus de responsabilités. Et un mentor me donnait les conseils et les perspectives issus du monde réel dont j’avais besoin pour passer à l’action et franchir chaque étape de ma carrière. »

Ernest a commencé sa carrière en tant qu’expert en sinistres atteignant les biens. À ce titre, il était responsable de l’enquête, des négociations et du règlement des sinistres. « Les sinistres dont je m’occupais pouvaient être aussi simples que le vol d’un vélo dans une cour arrière le matin ou aussi complexes qu’un gros dégât d’eau sur plusieurs étages d’un immeuble d’appartements l’après-midi. »

Sa carrière le garde alerte. Il est impossible pour lui de s’ennuyer dans l’industrie de l’assurance. Son poste le plus récent, qu’il a commencé en pleine pandémie chez l’un des plus importants réassureurs au Canada, porte sur des sinistres plus techniques et plus complexes en assurance spécialisée.

Pourquoi avoir choisi l’assurance?

Ernest adore le cheminement de carrière qu’il a choisi et ce qu’il lui a apporté jusqu’ici. « J’aime faire partie d’une industrie qui stimule la croissance économique », dit-il. Ernest aime également redonner à la collectivité et il trouve qu’une industrie grandement reconnue pour sa contribution à la collectivité lui convient. « Mon poste actuel en particulier me permet d’aider les assurés à reconstruire et à se rétablir après la réalisation d’un risque. En tant qu’expert en sinistres, c’est moi qui remplis la promesse d’indemnisation, promesse qui a peut-être été faite 5, 10 ou même 20 ans auparavant. L’expert en sinistres ne doit pas oublier qu’il est peut-être la première personne avec laquelle l’assuré communique chez l’assureur depuis la souscription de l’assurance, indique-t-il. Il est clair que le service à la clientèle, l’empathie, l’art de la négociation et l’entregent, combinés à l’expertise technique, représentent une bonne partie des outils de l’expert en sinistres efficace. »

Ernest continue à développer sa passion de l’assurance tous les jours. « Je suis depuis peu ambassadeur pour Connexion Carrières, et on m’a aussi donné la chance de représenter mon entreprise lors d’événements comme des salons de l’emploi, des prises de contrôle sur Instagram et des discussions avec des groupes d’experts. » À titre d’ambassadeur, Ernest invite les étudiants et étudiantes, de même que les personnes nouvellement diplômées et les personnes souhaitant changer de carrière, à explorer les carrières en assurance. « L’industrie est stable et donne l’occasion aux personnes de croître et d’exceller », explique-t-il. À chaque personne que l’assurance intéresse, il dit de ne pas attendre. « L’industrie croît rapidement, et plus tôt vous ferez le lien avec vos compétences, vos intérêts et votre expérience, plus tôt nous pourrons croître ensemble. »




man covering mouth and eyes


Nous aimerions connaître votre opinion sur notre tout dernier problème d’ordre éthique.

En présentant à nos membres des situations fictives, nous visons à susciter la discussion sur des situations ambiguës qui peuvent soulever des enjeux d’ordre éthique. Dans le dernier numéro de Crescendo, nous avons publié un échantillon de vos commentaires portant sur le marché étroit.

Dans le présent numéro, nous vous présentons une nouvelle situation ambiguë, au sujet de laquelle nous aimerions connaître votre opinion. Comme dans le passé, nous comptons publier, dans un futur numéro de Crescendo, certains des commentaires les plus pertinents que nous recevrons de nos diplômés et diplômées, pour que l’ensemble de nos membres puisse en profiter. Nous vous remercions à l’avance de votre participation!

Envoyez-nous un courriel à l’adresse ethics@insuranceinstitute.ca pour nous faire part de votre opinion.

L’année a été difficile en raison d’un marché étroit et de la pandémie de COVID-19. Le courtier s’est efforcé d’obtenir l’assurance dont ses clients ont besoin. Mais voilà qu’il doit expliquer pourquoi les assureurs ne couvriraient pas les pertes d’exploitation et éloigner les préoccupations de ses clients pendant la crise économique causée par la pandémie. Il n’arrive presque plus à se tenir au courant des garanties modifiées et des nouvelles garanties proposées par les assureurs.

Puisqu’un grand nombre de ses entreprises clientes essaient tant bien que mal de trouver les ressources permettant au personnel de travailler à la maison et d’accomplir leurs activités en ligne, le courtier sait qu’elles n’ont peut-être pas les garanties requises pour ces nouvelles activités. Le stockage dans le nuage et les ententes conclues avec des tiers empirent la situation. En outre, les organismes de réglementation exigent des mesures de sécurité renforcées et plus d’autorisations expresses pour la collecte, l’utilisation et la conservation de renseignements personnels. Une province a présenté un projet de loi qui, s’il est adopté, entraînera l’application d’amendes élevées en plus de la déclaration des atteintes à la sécurité des données. Parallèlement, les cyberattaques par rançongiciel et piratage psychologique sont en hausse.

Le courtier ne connaît pas bien la technologie. Il n’est pas au fait de la terminologie liée à la cybersécurité, et encore moins des garanties requises pour répondre aux besoins particuliers de ses clients, qui comprennent des centres d’hébergement et de soins de longue durée ainsi que des entreprises conservant des renseignements personnels. Il ne s’y retrouve pas parmi les différentes polices et les différents avenants offerts par les assureurs avec lesquels il traite et par leurs concurrents. Néanmoins, il estime que la garantie offerte par les uns doit être comparable à celle des autres et donc répondre aux besoins de ses clients.

Le courtier a décidé de proposer à ses clients existants la cyberassurance de l’assureur actuel lors du renouvellement. Aux nouveaux clients, il présente une proposition de prix pour une cyberassurance si cette garantie fait partie du contrat en cours ou il attend qu’ils la demandent. Quand il ne comprend pas les questions posées par le souscripteur de l’assureur, il les achemine simplement au client pour que celui-ci y réponde lui-même. Il hésite à consulter un courtier mieux renseigné ou un spécialiste de l’extérieur parce qu’il craint que cela lui fasse perdre le client ou nuise à sa réputation.

Le courtier pense qu’au fil du temps, les assureurs mettront leurs polices à jour en y incluant des garanties et des montants de garantie similaires pour tenir compte de l’évolution constante des besoins liés à la cybersécurité et à la protection de la vie privée. Qu’est-ce qui pourrait arriver à ses clients d’ici là?






Sept conseils pour créer un portrait d’allure professionnelle à la maison


Il est important d’avoir un beau portrait à utiliser pour faire la promotion de votre marque professionnelle. C’est essentiel pour votre compte LinkedIn ou, peut-être, pour la page « À propos de nous » de votre entreprise, pour les conférences lors desquelles vous donnez une présentation ou même pour votre profil Zoom ou Teams.

De nos jours, cette photo pourrait être la première image qu’aura de vous un futur collègue ou intervieweur, ou celle qui accompagnera un article à votre sujet que l’Institut d’assurance inclura dans l’une de ses campagnes sur les réseaux sociaux. Elle permet aux gens composant votre réseau professionnel de vous identifier et d’avoir une idée de la personne que vous êtes. Elle pourra créer la première impression qu’une personne aura de vous.

Il n’est pas toujours possible d’avoir accès à des services de photographie professionnels (surtout maintenant) et la demande à l’égard des portraits professionnels est forte puisque les gens ne se voient plus en personne. C’est pourquoi nous vous présentons quelques conseils à suivre pour prendre une photo d’allure professionnelle à la maison.

  • Oubliez l’égoportrait. La photo n’a pas à avoir une allure officielle, mais elle doit évoquer le professionnalisme. Dans notre industrie, cela signifie d’oublier les égoportraits pris devant le miroir de la salle de bain. Demandez plutôt à un membre de votre famille, à un ami ou à un colocataire de tenir l’appareil afin que vous puissiez vous concentrer sur la pose à prendre. Si personne ne peut vous photographier, envisagez d’installer l’appareil sur un trépied ou une surface solide et d’utiliser le retardateur. « Les égoportraits font souvent en sorte que le visage n’est pas expressif ou naturel; ils ne donnent pas une bonne impression. Il faut avoir la présence d’un être humain avec lequel interagir, une personne qui maintient votre attention pendant qu’elle appuie sur le bouton de l’appareil. » (traduction)
    Source : BeauPix
  • Réfléchissez à votre tenue. Demandez-vous ce que vous porteriez au bureau, quel est le code vestimentaire de votre entreprise ou quelle est la tenue que l’on s’attend habituellement à ce que vous portiez si vous représentez votre entreprise lors d’un congrès, participez à une entrevue ou rencontrez des cadres supérieurs. Comment voulez-vous vous présenter à vos collègues, dont certains d’entre eux vous verront pour la première fois?
  • Choisissez l’arrière-plan et tenez compte de l’éclairage. Voici les conseils de Naylor Association Services : trouvez un arrière-plan uni et non encombré, par exemple, un mur de couleur unie dans votre maison ou votre bureau. Si la photo est prise à l’intérieur, placez-vous à côté d’une fenêtre et éteignez toutes les lampes dans la pièce. Privilégiez un moment de la journée où la lumière entrant dans la pièce est non directionnelle (ou installez-vous dans une pièce orientée vers le nord ou le sud). Si vous êtes à l’extérieur, placez-vous à l’ombre devant un arrière-plan simple, dans un endroit complètement à l’abri des rayons directs du soleil.
    Source: Naylor.com
  • Prenez une pose professionnelle. Selon Kirby Partners, une firme de recherche de cadres supérieurs, vous devriez vous exercer à prendre la pose et appliquer ces conseils (en anglais) pour projeter de l’assurance et de la confiance en vous. Comme toutes les personnes présentent des différences physiques, adoptez la pose la plus flatteuse pour vous. Trouvez le meilleur angle et essayez différentes poses, en prenant en considération la position des bras. N’incluez pas seulement votre visage dans la photo : assurez-vous que vos épaules sont visibles, et prenez quelques clichés de la partie supérieure de votre corps pour déterminer ce qui donne le résultat le plus naturel.
  • Amusez-vous et prenez un grand nombre de photos. Vous pouvez demander à quelqu’un de vous poser des questions ou encore de vous faire sourire ou rire. Quand vous avez terminé, demandez à un ami ou à un collègue de vous aider à passer les photos en revue pour établir laquelle correspond le mieux à votre marque professionnelle.
  • Gardez les photos à haute résolution originales à portée de main. Si on vous le demande, envoyez la photo de la plus grande qualité par courriel ou déposez-la sur un lecteur partagé. Envoyez toujours les fichiers photo originaux.
  • Remplacez votre photo chaque année pour l’actualiser. Les gens veulent savoir qui vous êtes maintenant, et non qui vous étiez il y a 5, 10 ou 15 ans. Ayez confiance en vous et en ce que vous avez à offrir à cette étape de votre cheminement professionnel.

Autres ressources :
Photo de profil LinkedIn : les 20 secrets d’une photo LinkedIn parfaite
11 conseils pour avoir LA photo de profil LinkedIn parfaite en 2020






Savez-vous à quelles fins les frais d’adhésion sont utilisés?


Vos frais d’adhésion annuels permettent à l’Institut d’offrir des programmes de formation novateurs et de grande qualité qui sont pertinents pour l’industrie de l’assurance d’aujourd’hui. Mais connaissez-vous les nombreux autres avantages que l’adhésion vous confère?

En tant que personne diplômée membre de l’Institut, vous conservez votre titre professionnel et l’autorisation d’utiliser l’acronyme PAA, FPAA, PAAA ou CMGA, selon le cas, après votre nom.

Vous sont également offerts :

  • Des rapports de recherche novateurs et des articles sur d’importants sujets d’actualité tels que les changements climatiques, les cyberrisques et l’économie du partage
  • Des ressources et des outils conçus pour vous aider à exploiter votre potentiel professionnel
  • Des rabais consentis sur une grande variété de produits et de services dans le cadre de notre programme MemberPerks
  • Le bulletin Crescendo, publié trois fois l’an, qui vous apporte de l’information pratique et utile dans votre travail quotidien
  • Des occasions de tisser des liens avec la communauté professionnelle de l’industrie lors d’activités de réseautage
  • Des crédits de formation continue, au moyen de notre programme de séminaires

Pour connaître la liste complète des avantages offerts aux membres, consultez la page suivante : /fr/about-the-institute/membership

L’adhésion vous apporte bien des avantages; assurez-vous d’être un membre en règle.






Les personnes derrière la campagne publicitaire du titre de PAA


La plus récente campagne publicitaire que l’Institut a menée auprès des consommateurs, intitulée « Tous des pros », souligne l’éventail incroyablement large des personnes qui suivent une formation de l’Institut.

Dans le cadre de cette campagne, Jacqui Oakley, illustratrice primée (The New York Times, The Globe and Mail et le magazine Rolling Stone figurent parmi ses clients), a créé des portraits de diplômés de l’IAC provenant des quatre coins du pays.

Les portraits ont été diffusés dans des médias numériques et des revues spécialisées. Les professionnels et professionnelles de l’industrie ont pu voir leurs pairs reconnus et mis en vedette, tandis que le grand public avait un aperçu des gens qui travaillent en coulisse à la prestation d’un service vital.

Voici l’histoire des quatre diplômés mis en vedette dans notre campagne.

Sarah Tung

Sarah Tung a obtenu son diplôme BComm en finance auprès de la University of British Columbia. Après avoir travaillé plusieurs années pour une grande institution financière, elle est passée à l’assurance de dommages, domaine où elle se sent très bien. Elle a occupé un certain nombre de postes, dont celui de souscriptrice, assurance des particuliers et de gestionnaire, assurance des entreprises; elle est maintenant souscriptrice principale, assurance de dommages chez AXA. Son travail la passionne. « J’aime que mon travail contribue à l’infrastructure économique de notre vie. Il permet aux titulaires de police de se concentrer sur ce qu’ils font de mieux et de moins craindre que la réalisation d’un risque ne détruise leur gagne-pain. »

Sarah a obtenu le titre de CIP quelques années après avoir commencé sa carrière, pour ensuite décider de le faire suivre du titre de FCIP. « Le FCIP montre mon grand dévouement envers l’industrie. Il m’a aidée à mieux comprendre les enjeux réels dans le marché de l’assurance et m’a donné des outils permettant d’aborder ces enjeux de manière constructive. » Il lui a aussi ouvert des portes et il a donné à sa carrière un élan que Sarah continue de maintenir. « L’aspect génial de cette industrie, c’est qu’il y a toujours plus de choses à apprendre, en raison de l’évolution des garanties et des règlements. »

Jean-François Parisien

C’est à titre de souscripteur en assurance des entreprises au sein de L’Unique, Assurances générales, que Jean-François a amorcé sa carrière en assurance. Alors qu’il était à la recherche d’un emploi, un de ses amis lui a parlé de LARAQ, une association regroupant de jeunes professionnels et professionnelles de l’assurance, et l’a invité à l’une de leurs rencontres. « J’ai eu plusieurs discussions fructueuses et j’ai réalisé que l’assurance offrait de belles perspectives de carrière ». Jean-François s’est ensuite inscrit à une attestation d’études collégiales en assurance de dommages et ses études lui ont confirmé qu’il avait fait le bon choix.

Jean-François a entrepris le programme de PAA pendant qu’il travaillait pour L’Unique. « Ce programme m’a vraiment permis d’approfondir mes connaissances en assurance, tout en élargissant ma compréhension et ma vision de cette industrie ». Il estime que cette formation lui a permis d’aborder des thèmes essentiels à la compréhension du monde de l’assurance auxquels il n’était pas exposé dans le cadre de son travail.

Après son diplôme de PAA, Jean-François a obtenu un certificat en gestion des risques et il est maintenant inscrit au programme de PAA avancé. Il siège également au conseil d’administration de L’Association de la relève en assurance du Québec (LARAQ). « Je me suis engagé dans l’Association tout en souhaitant m’améliorer au fur et à mesure que je progresse dans ma carrière ». Il est maintenant président provincial de cette association.

Cet hiver, Jean-François entamera un nouveau chapitre de sa vie professionnelle à titre de souscripteur en assurance des entreprises au sein de la société Assurance Liberty Mutual. Il est d’avis que le programme de PAA a grandement contribué à son perfectionnement professionnel, ce qui lui a permis de décrocher un poste au sein de la société Liberty Mutual.

Thea Baird

Lorsque Thea Baird a décroché un poste de réceptionniste au sein d’un cabinet de courtage d’assurance de sa région, elle n’avait aucune idée que cet emploi allait déboucher sur une carrière en assurance. L’intérêt qu’elle portait à son travail l’a toutefois amenée à occuper rapidement un poste de chef caissière, puis à se joindre à une équipe de vente en assurance des particuliers.

La carrière de Thea a bien évolué depuis ses débuts dans le domaine de l’assurance. Elle a successivement occupé plusieurs autres postes : représentante au service à la clientèle en assurance des particuliers, coordonnatrice à la formation et représentante de compte en assurance des petites entreprises. Thea occupe actuellement un poste de courtière en assurance des entreprises chez Aon. « J’aime me décrire comme une négociatrice qui met en place des programmes de tarification et de garanties concurrentiels. J’examine et je compare des libellés de contrats pour le compte de nos clients, tout en établissant et en maintenant de solides relations avec les assureurs que nous représentons. » Elle a découvert que le secteur de l’assurance des entreprises est un milieu qui lui convient parfaitement. « Vous apprenez à connaître vos clients ainsi que leurs préoccupations. Ce n’est jamais ennuyant! »

C’est après avoir commencé à travailler en assurance des entreprises que Thea a senti le besoin de parfaire sa formation professionnelle. Elle estime que le programme de PAA lui a permis de mieux comprendre les produits avec lesquels elle travaille régulièrement, de mieux évaluer les risques auxquels ses clients sont exposés et de renforcer ses compétences en négociation. Selon Thea, la formation continue est essentielle pour les professionnels et professionnelles de l’industrie de l’assurance. « Nous sommes une source de sécurité pour nos clients. Nous nous adoptons constamment aux changements et nous recherchons toujours de meilleures solutions pour répondre à leurs besoins. »

Kamran Afshar

Voilà plus de 14 ans que Kamran Afshar évolue dans le domaine de l’assurance. Ce qui n’était au départ qu’un emploi à temps partiel au sein d’un cabinet de courtage s’est transformé en une carrière passionnante. Il occupe actuellement le poste de directeur, Assurance des entreprises chez Intact Assurance, en Ontario. « Je collabore étroitement avec une équipe de souscripteurs et de souscriptrices. Je suis fier de voir leur carrière progresser et de contribuer à leur perfectionnement professionnel. »

Kamran a entrepris le programme de PAA alors qu’il travaillait à titre de courtier d’assurance affecté aux ventes et au service à la clientèle chez Grey Power. C’est un gestionnaire qui lui a suggéré de s’inscrire au programme. Après son inscription, Kamran a senti qu’il s’était finalement approprié sa carrière et qu’il lui avait donné une orientation. Bien qu’il ait trouvé le programme difficile par moments, il a beaucoup aimé son expérience. « J’ai vraiment apprécié la variété des sujets traités et des contenus offerts aux étudiants. Quel que soit le secteur dans lequel vous évoluez au sein de l’industrie : courtage, souscription ou autre, le programme est une source précieuse de renseignements ».

Au fil des ans, Kamran a dirigé plusieurs équipes de vente et de service à la clientèle et occupé un poste de directeur en développement des affaires. Il a ensuite effectué une transition vers l’assurance des particuliers et l’assurance des entreprises. En 2019, Kamran s’est vu décerner le Prix du jeune professionnel de l’année en assurance. Par ailleurs, il est l’un des administrateurs d’un organisme de bienfaisance qui accorde des bourses à des jeunes souhaitant poursuivre leurs études.




Dix conseils pour réussir vos études

Songez-vous à vous inscrire à un cours cet hiver? Hésitez-vous à vous inscrire en raison du mode d’apprentissage en ligne? Que vous en soyez à vos premiers pas dans le monde de l’apprentissage en ligne ou que ce mode d’apprentissage n’ait plus de secrets pour vous, voici dix conseils qui vous permettront de tirer avantage de cette expérience et de bien préparer votre réussite lors du prochain trimestre.

1. Maintenez vos bonnes habitudes
Réfléchissez à ce qui a fait de vous un bon étudiant ou une bonne étudiante par le passé, y compris dans les cours en classe. Quelles étaient vos habitudes? Que faisiez-vous quand vous aviez un problème? Vous n’avez pas à réinventer vos façons de faire seulement parce que le mode d’apprentissage a changé. Conseil : Même en mode virtuel, continuez d’utiliser les stratégies qui fonctionnent pour vous, par exemple le recours à des abréviations ou à d’autres trucs mnémotechniques pour la prise de notes, ou encore le travail à deux ou en équipe.

2. Définissez vos objectifs d’apprentissage
La motivation est déterminante pour l’apprentissage. Il importe donc de réfléchir aux résultats que vous visez pendant la session d’étude. Conseil : Inscrivez un ou deux grands objectifs sur un papillon adhésif et collez-le au milieu de votre manuel. Quand vous serez rendu(e) à cette note, voyez si vous avancez au rythme que vous aviez prévu. Et si vous atteignez vos objectifs, n’hésitez pas à vous récompenser!

3. Familiarisez-vous avec la technologie
L’étude en mode virtuel implique l’utilisation de la plateforme en ligne sur laquelle le cours est donné. N’attendez pas le début du cours avant de vous familiariser avec le site d’apprentissage en ligne de l’Institut. Conseil : Une fois que vous avez accès au site d’apprentissage en ligne, regardez la vidéo qui décrit comment naviguer dans le cours (cette vidéo est disponible dans la section « Ressources pour les étudiants »).

4. Choisissez un endroit qui vous permet de vous concentrer
Que vous participiez à une séance en direct ou fassiez de la révision, étudiez à un endroit où vous êtes le plus possible à l’abri des distractions. Choisissez un endroit tranquille et bien éclairé. Enlever tout ce qui est susceptible de vous distraire. Conseil : À moins que vous n’en ayez absolument besoin pour étudier, laissez votre téléphone dans une autre pièce.

5. Réservez du temps pour l’étude
Il est important de réserver du temps pour vos études. Avertissez votre entourage que vous ne serez pas disponible pendant cette période et que vous ne voulez pas être dérangé(e). Vous devez prévoir du temps pour les séances en direct, la lecture du manuel et les activités d’apprentissage. Conseil : Répartissez votre séance d’étude en plusieurs petites périodes plutôt que de tout faire en une seule longue séance. Par exemple, prévoyez 30 minutes d’étude chaque matin avant le travail ou chaque midi pendant la pause repas.

6. Notez les dates importantes
Notez les dates auxquelles vos travaux doivent être remis ainsi que celles de votre examen de mi-session et de votre examen final. Conseil : Enregistrez ces dates dans un calendrier que vous consultez régulièrement, et programmez un rappel une semaine avant la date limite afin de ne pas rater une étape importante.

7. Prenez contact avec le formateur et les autres étudiants
Les relations avec les autres peuvent être un puissant vecteur d’apprentissage. Il n’est peut-être pas aussi simple de prendre contact avec le formateur ou vos camarades de classe en mode virtuel, mais ne laissez pas cette barrière vous empêcher de vous présenter aux autres. Conseil : Voyez si vous pouvez vous trouver un ou une partenaire d’étude. Même si vous ne prenez contact qu’en ligne, vous pourrez vous motiver mutuellement à progresser dans le cours.

8. Participez activement
Les technologies d’apprentissage en ligne vous permettent de parler au formateur et à vos camarades un peu comme si vous étiez en classe. Soyez aussi assidu(e) pour vos cours que vous le seriez pour le travail. Quand tous participent activement, l’expérience d’apprentissage est d’autant plus fructueuse. Conseil : Selon la plateforme utilisée, vous pouvez intervenir en « levant la main », en clavardant, en répondant à des sondages ou, même, en communiquant vos réactions au moyen d’émojis.

9. Donnez votre opinion
Dans la plupart des cas, vous recevrez un sondage à remplir à la fin du cours. Prenez le temps d’indiquer ce que vous avez beaucoup ou moins aimé, ou ce qui devrait être amélioré, à votre avis. Vos commentaires aident l’Institut à peaufiner ses cours et à mieux favoriser votre réussite. Conseil : Si vous avez des problèmes à comprendre la matière ou éprouvez d’autres difficultés pendant le cours, parlez-en à votre formateur ou communiquez avec votre institut régional ou votre section sans tarder. Dans de tels cas, en parler rapidement et franchement peut être une clé de réussite.

10. Soignez votre santé
Enfin, et surtout, prenez soin de vous! Il est difficile de réussir des cours lorsqu’on ne se sent pas en forme, que ce soit physiquement ou mentalement. Conseil : Prenez le temps de vous reposer et de faire les pauses dont vous avez besoin.

L’apprentissage en ligne est un moyen formidable de poursuivre son développement professionnel. Il présente plusieurs avantages, comme la souplesse et la possibilité d’étudier dans le confort de son domicile.




Faits intéressants sur l’assurance

Faits intéressants sur l’assurance

Après avoir incarné une jeune femme portant un appareil orthodontique dans la série « Ugly Betty » (Chère Betty), rôle qui l’a rendu célèbre, l’actrice America Ferrara a réalisé des messages publicitaires pour un fabricant de dentifrice qui a jugé important d’assurer le sourire de l’actrice pour 10 millions de dollars.

Une assurance crocodile : Lorsque le président des États-Unis se rend en Australie, le gouvernement souscrit une police d’assurance pouvant atteindre 50 000 $ pour couvrir toute attaque éventuelle du président par un crocodile.




Le babillard

Voici les membres du Conseil des gouverneurs et les dirigeants de l’Institut pour 2020-2021 :

Président du Conseil :*Martin Thompson, ACII (RSA du Canada)

Présidente suppléante du Conseil :* Heather Masterson, BA, BEd, FCIP (Travelers Canada)

Vice-président du Conseil représentant l’ensemble des membres :*Raymond Chun, MA (TD Assurance)

Président du Conseil sortant :*Patrick Van Bakel, BA, CIP (Crawford & Company (Canada) Inc.)

Vice-présidents régionaux :
*Suzie Godmer, PAA (Authentik, Cabinet d'expertise en règlement de sinistres) (Quebec)
*Ken De Decker, CIP, CRM (Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa) (provinces de l’Ouest)
*Joe Colby, CIP (Echelon Insurance) (Ontario)
*Robert Byrne, BComm, CIP, CD (Terre-Neuve-et-Labrador) (provinces de l’Atlantique)

Les personnes qui présideront les comités permanents en 2020-2021 sont les suivantes :

Comité de direction : *Heather Masterson, BA, BEd, FCIP (Travelers Canada)

Division de l’enseignement : *Anna McCrindell, BA FCIP (Travelers Canada)

Division des professionnels : *Rosalind Staples-Simpson, BComm, FCIP (RSA du Canada)

* = membre du comité de direction

Le reste du Conseil des gouverneurs est composé de représentants des instituts ou sections :

Terre-Neuve-et-Labrador :
Norine Taylor, CIP, CAIB (Wedgwood Insurance Limited)
Denise Roche, CAIB, CIP, CRM (Anthony Insurance Inc.)

Île-du-Prince-Édouard :
Lola Inman, CIP (Huestis Insurance Group)

Nouvelle-Écosse :
Matt Robblee, CAIB, CIP (Caldwell Roach Agencies)
Stacey Purcell, FCIP (Aviva Canada)

Nouveau-Brunswick :
Richard Ravn, FCIP, CRM (Asurion)
Marie Clifford, FCIP (Aviva Canada)

Québec :
Lisa Desgagné, PAA (Northbridge Assurance)
Alex Stringer, FPAA, CRM (BFL Canada)

Ontario:
Ross McDougall (McDougall Insurance and Financial)
Dave Smiley (Unica Insurance)
Dominique Walker, HBComm, FCIP (Cambrian Special Risks Insurance Services)
Jennifer Virley, MBA, FCIP, PMP (Crawford & Company (Canada))
Victoria Hanson, BA, RVP, RRP, CVP, CRM, ACS, CIP (Crawford & Company (Canada)
Jason Foroglou, MBA, FCIP, CRM (Ivantage Insurance Brokers)
Hilary Scaffidi, FCIP, CRM, CAIB, CSIP (Rhodes and Williams)
Debbie Van Eyk, CIP (Lambton Mutual Insurance Company)

Manitoba:
Jennifer Tougas, FCIP (Intact Assurance)
Emma Middleton, MA, CIP (Delta Claims)

Saskatchewan:
Lee Marshall, CIP, CPA, CA (SGI Canada)
Debra Bachek, FCIP (SGI Canada)

Sud de l’Alberta :
Randy Fulton, CIP, CLA (Longdown EIC)
Christa Cole, CIP (Co-operators)

Nord de l’Alberta :
Ryan Yarmuch, FCIP (Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa)
Ingrid Butler-Sieben (Aviva Canada)

Colombie-Britannique :
Kelly Krakonchuk, CIP (RSA du Canada)
Sarah Tung, BComm, FCIP, CRM (AXA XL, a division of AXA)
Malika Mosseddaq, B. Actuarial Sc, FCIP, CRM (Intact Assurance)

Encore une fois cette année, le Conseil des gouverneurs regroupe des membres provenant de toutes les régions du Canada et de tous les secteurs de l’industrie; il serait difficile d’imaginer un groupe plus représentatif.

Communiquez avec votre représentant ou représentante afin de lui faire part de vos commentaires sur les programmes et les services de l’Institut. Les membres d’une association doivent s’impliquer dans l’organisme. Votre opinion est importante pour nous.

Au tableau d’honneur

Le titre de PAA est prestigieux en soi. Mais un titre de PAA avec distinction l’est encore plus. Ce titre octroyé aux personnes qui réussissent huit des cours du programme avec distinction. Cette année, le titre de PAA avec distinction a été octroyé aux personnes suivantes :

Professionnels d’assurance agréés

Québec
Steve Boucher
La Capitale Assurance et services financiers

Nathalie Boulanger
Intact Assurance

Olivier Gagnon

Mikaëlla Dubé
Intact Assurance

Manitoba

Jonathan Squires
Intact Assurance

Colombie-Britannique

Lester Ng
Canadian Northern Shield

Yuki Xueqi Wang
Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa

Hoda Azouji
South Western Insurance Group

Tanya Ludwig
Insurance Corporation of British Colombia

Alberta

Joseph Brunton
Intact Assurance (sud de l’Alberta)

Humera Ansari
TD Assurance (sud de l’Alberta)

Hillaine McCaffrey
Rogers Insurance Ltd. (sud de l’Alberta)

Adrienne Kuziek
Alberta Motor Association Insurance Agency Ltd (sud de l’Alberta)

Ontario

Aviva Kaufman
Desjardins Groupe d’assurances générales (Ontario – Agglomération de Toronto)

Melinda Menezes
Desjardins Groupe d’assurances générales (Ontario – Agglomération de Toronto)

Annie Ng
Intact Assurance (Ontario – Agglomération de Toronto))

Megan McFarlane
Intact Assurance (Ontario – Agglomération de Toronto)

Gozde Unel
ClaimsPro Inc. - Granite Claims (Ontario – Agglomération de Toronto)

Alina Burkova
belairdirect (Ontario – Agglomération de Toronto)

Gregory Clark
(Ontario – Hamilton/Niagara)

Brian Long
Sedgwick (Ontario – Hamilton/Niagara)

Eun young Han
Unique Risks (Ontario – Hamilton/Niagara)

David O’Leary
CGI (Ontario – Kawartha/Durham)

Amanda Wabro-Pape
Intact Assurance (Ontario – Sud-Ouest)

Katelyn Hodgins
NAL Insurance (Ontario – Sud-Ouest)

Stacey Johnson
Assurance Economical (Ontario – Conestoga)

Tiia Planert
Halwell Mutual Insurance Group (Ontario – Conestoga)

Marisol Mortimer-Proulx
belairdirect (Ontario – Ottawa)

Toutes nos félicitations à ces diplômés exceptionnels!

Cérémonies de remise des diplômes

Les personnes qui ont récemment reçu leur diplôme ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à l’obtention de leur titre professionnel. Elles méritent que nous leur rendions pleinement hommage. Consultez le site Web de l’Institut d’assurance pour obtenir plus d’information sur les cérémonies virtuelles de remise des diplômes organisées par les instituts régionaux et les sections. Notez cet événement spécial à votre agenda afin d’y participer. Appuyons les diplômés de notre région.

Toutes nos félicitations à ces diplômés!

Pour avoir ses notes, il faut payer ses frais d’adhésion!

Beaucoup d’étudiants et d’étudiantes ignorent que pour obtenir leurs notes finales, ils doivent au préalable payer les frais d’adhésion à leur institut ou section. Les personnes qui n’ont pas encore acquitté leurs frais d’adhésion et qui essaient d’aller sur notre site Web constateront qu’elles ne peuvent pas accéder à leurs notes finales ni à leur dossier.

Vous ne savez pas si vos frais d’adhésion ont été payés? Allez sur le site www.institutdassurance.ca, cliquez sur « Connexion », puis suivez les instructions. Une fois la connexion établie, cliquez sur l’onglet « Profil » dans le menu en haut de la page, puis sur « Mon statut de membre » dans le bandeau de gauche. Si vous avez payé vos frais d’adhésion, la date d’expiration indiquée devrait être le 31 mai 2021 (ou une date ultérieure). Si vous n’avez pas payé vos frais d’adhésion, cliquez sur « Renouvellement de l’adhésion » pour régler vos frais pour l’année en cours. Pour connaître vos notes, cliquez sur « Formation » dans le menu en haut de la page, puis sur « Mes cours » dans le bandeau de gauche. Évitez les déceptions : renouvelez votre adhésion tous les ans.

Joyeux temps des… examens

Depuis le printemps 2017, les examens de tous les cours du programme de PAA et du programme d’Introduction aux assurances I.A.R.D. sont informatisés. De plus, en raison de la pandémie de Covid-19, tous les examens de ces deux programmes sont maintenant offerts sous forme d’examens surveillés virtuellement.

La surveillance en ligne consiste à demander à un surveillant d’examen de vous observer à distance, depuis la webcaméra, pendant l’examen. Le surveillant peut aussi vous aider à résoudre les difficultés techniques que vous pourriez éprouver.

Les examens informatisés et surveillés virtuellement auront lieu à différentes dates entre le 28 novembre et le 13 décembre. Nous vous recommandons fortement de réserver une plage horaire immédiatement après votre inscription à l’examen.

Pour en savoir davantage sur les examens surveillés virtuellement, consultez le site Web de l’Institut.

Le temps alloué est de trois heures pour les examens du programme de PAA et de deux heures pour ceux du programme d’Introduction aux assurances I.A.R.D. Bonne chance!






Nouvelles de la Société des PAA

Bienvenue à tous les diplômés et diplômées du programme de PAA de 2020

Votre diplôme du programme de PAA en main, vous êtes depuis peu membre de la Société des PAA, la division des professionnels de l’Institut d’assurance qui regroupe plus de 18 000 membres.

En tant que membre de la Société, vous pouvez désormais utiliser votre titre professionnel, c’est-à-dire inscrire les lettres PAA à la suite de votre nom. Nous vous invitons à ajouter ces trois lettres à la suite de votre signature dans vos messages électroniques et votre profil LinkedIn. Nous vous invitons également à vous afficher fièrement sur les médias sociaux au moyen du mot-clic #DeFiersPAA.

Des avantages tant pour vous-même que pour l’industrie dans son ensemble

L’adhésion à la Société des PAA vous donne accès à une vaste gamme d’avantages, que nous vous invitons à explorer en ligne.

Dans le cadre des sondages que nous avons effectués auprès nos membres, nous avons appris que ces derniers apprécient tout particulièrement notre service quotidien de nouvelles de l’industrie, qui présente des articles sur l’actualité canadienne. Si vous n’avez pas encore commencé à recevoir le bulletin quotidien par courrier électronique, communiquez avec l’équipe de notre Service aux membres, à cips@insuranceinstitute.ca.

Votre adhésion à la Société des PAA contribue également à soutenir nos divers projets de recherche, notamment notre bulletin Tour d’horizon trimestriel, désormais accessible à tous les membres de l’industrie. Notre plus récent numéro aborde l’évolution des garanties d’assurance contre les dommages occasionnés par les eaux de surface ainsi que les moyens permettant de se protéger contre le piratage psychologique.

Par ailleurs, la Société des PAA produit une série d’études annuelles sur les nouvelles réalités, qui a permis d’aborder jusqu’ici des sujets comme les risques climatiques (2020), l’évolution de la main-d’œuvre (2018), l’économie du partage (2017), les véhicules automatisés (2016) et les cyberrisques (2015). Ces études sont devenues une ressource importante pour les parties prenantes qui s’intéressent à ces importants sujets, tant au sein de l’industrie qu’à l’extérieur de celle-ci, notamment les représentants des organismes de réglementation et des différents ordres de gouvernement.

La Société des PAA continue d’encourager les discussions sur la déontologie professionnelle au sein de l’industrie. Par l’entremise de nos chroniques publiées régulièrement dans la revue Canadian Underwriter (en anglais) et des situations fictives que nous présentons dans le bulletin Crescendo, nous souhaitons souligner les décisions difficiles que les professionnels de l’industrie des assurances sont appelés à prendre tous les jours. Nos articles visent à fournir à ces professionnels différents outils (études, ressources et stratégies) pour les aider à gérer et à résoudre avec intégrité diverses situations ambiguës.

Nous reconnaissons tous les efforts que vous avez déployés pour atteindre cette étape importante de votre carrière ainsi que la valeur que votre engagement envers le perfectionnement professionnel et la formation représente pour l’industrie.

Félicitations et bienvenue!