Crescendo - été 2019



Le président du Conseil de l’IAC, M. Jeff Goy, nous fait part de ses réflexions sur sa carrière en assurance


Une carrière en assurance est certes stimulante et enrichissante, mais elle peut aussi comporter son lot d’imprévus. Parlez-en à M. Jeff Goy, président du Conseil de l’Institut d’assurance du Canada et président et chef de la direction de la Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa.

Jeff sera le premier à vous dire qu’il n’est pas arrivé par hasard dans le domaine de l’assurance, même s’il n’a pas non plus suivi le cheminement de carrière qu’il s’était tracé au départ. « Quand je suis arrivé dans l’industrie de l’assurance, je cherchais en fait à devenir actuaire. Ce projet ne s’est pas réalisé, mais j’ai eu l’occasion de constater les nombreuses possibilités que l’assurance avait à offrir. J’ai alors décidé d’obtenir le titre de PAA, ce qui m’a ouvert plusieurs portes dans les domaines de l’appréciation du risque et de la gestion de produit. »

Curieux de nature et habité d’une grande soif d’apprendre, Jeff a connu une progression soutenue tout au long de sa carrière. Au fil des ans, il a été témoin de multiples transformations dans l’industrie, la plus frappante étant probablement les changements technologiques. « Étant donné que notre industrie dépend plus que jamais des technologies de l’information, l’analyse de données est un domaine de plus en plus prisé par les jeunes professionnels de l’assurance. Bien sûr, il est important que les jeunes apprennent les notions fondamentales liées à l’appréciation du risque ainsi qu’à l’expertise et au règlement des sinistres, mais ceux qui ont des aptitudes en analyse des données font un choix judicieux en optant pour ce domaine. »

Le fait de demeurer ouvert aux autres disciplines est un autre important facteur de réussite professionnelle, selon Jeff. « Ne vous sentez pas obligé de rester dans le domaine dans lequel vous avez débuté votre carrière. Plus vous en apprenez sur les autres disciplines de l’assurance, plus votre carrière sera enrichissante. »

Tout au long du cheminement qui l’a mené au poste de chef de la direction qu’il occupe aujourd’hui, Jeff affirme que sa soif de connaissances a joué un rôle essentiel dans sa réussite professionnelle. Voici quelques-uns de ses plus judicieux conseils pour réussir une carrière en assurance.

1. Soyez ouvert aux changements et à l’affût des possibilités Notre industrie présente un vaste éventail de possibilités de carrières et offre une grande variété de parcours pouvant mener à la réussite. Pour explorer ces cheminements possibles, l’obtention de l’un des diplômes offerts par l’Institut vous sera assurément utile. Selon l’analyse démographie récemment effectuée par l’Institut, l’industrie va devoir pourvoir un grand nombre de postes techniques et de direction dans un avenir proche. Et vers qui d’autre les employeurs auront-ils tendance à se tourner que les gens les mieux qualifiés, c’est-à-dire celles et ceux qui ont suivi le programme d’Introduction aux assurances I.A.R.D. ou obtenu leur titre de PAA ou de FPAA? L’obtention d’une solide formation de base vous aidera à mener la carrière à laquelle vous aspirez.

2. Soyez fier de ce que vous faites. J’ai toujours été très fier d’œuvrer en assurance, jour après jour, année après année. Qu’une famille de votre communauté perde sa maison à la suite d’un incendie ou qu’une collectivité entière soit affectée par un feu de forêt, une inondation ou une tornade, l’industrie de l’assurance est appelée à la rescousse. Chaque fois que survient une catastrophe, l’industrie travaille sans relâche pour aider les sinistrés à se remettre sur pied. Il y a là de quoi être très fier.

3. Trouvez un mentor. On peut apprendre grâce aux livres, mais aussi au contact des autres. J’ai pu constater que les gens de notre industrie étaient très ouverts à partager leur savoir, et chez Wawanesa, toute notre culture d’entreprise est fondée sur ce principe. J’ai bénéficié de mentors formidables au cours de mon parcours professionnel, et à toutes les étapes de ma carrière, des gens m’ont aidé lorsque j’en ai fait la demande. Ce qu’il y a de formidable avec les mentors, c’est qu’ils sont souvent mieux en mesure que nous-mêmes de voir notre potentiel, et qu’ils peuvent par conséquent nous aider à sortir de notre zone de confort. Le mentorat a joué un rôle considérable dans ma carrière, mais n’oubliez pas qu’à mesure que vous progresserez dans votre propre carrière, vous aurez aussi le devoir d’agir à titre de mentor auprès des autres.

4. Impliquez-vous. L’engagement bénévole est une excellente chose, non seulement auprès de l’Institut d’assurance, mais également au sein du conseil d’administration d’autres organismes ou encore dans le cadre de conférences ou de séminaires. Vous acquerrez ainsi une précieuse expérience et aurez l’occasion, ce faisant, de redonner à l’industrie.

Merci

Pour conclure, car vous lisez en ce moment mon dernier message à paraître dans le présent bulletin avant la fin de mon mandat, qui se terminera lors de notre assemblée générale annuelle d’octobre, j’aimerais remercier nos nombreux bénévoles pour leur compétence, leur enthousiasme, leur dévouement et leurs efforts.

J’aimerais aussi remercier les hauts dirigeants de l’industrie qui constituent notre Conseil des gouverneurs de m’avoir donné l’occasion de servir nos membres et notre industrie. L’Institut joue un rôle de premier plan dans notre industrie, et ce fut un honneur et un privilège pour moi d’avoir pu agir à titre de président du Conseil. Je garderai de cette expérience un souvenir impérissable.


Le président du Conseil des gouverneurs,
S.J. (Jeff) Goy, ACAS, CIP, Chair

Jeff Goy

 


A day in the life


Une journée dans la vie de… Sue Collings


L’assurance joue un rôle dans pratiquement tout ce que nous faisons dans notre vie, tant personnelle que professionnelle! Il s’agit d’un domaine qui offre une multitude de possibilités de carrière et qui constitue une communauté très inclusive. Récemment, nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec Mme Sue Collings, qui œuvre au sein de l’unité spéciale d’enquête d’un important assureur. Elle nous raconte dans quelles circonstances elle a fait son entrée dans le domaine de l’assurance, pourquoi elle travaille dans l’industrie depuis 22 ans et comment vous pouvez entreprendre vous aussi une carrière en assurance.

Les débuts

Dès son plus jeune âge, Sue savait ce qu’elle voulait : faire partie du corps policier, comme son père. Après avoir terminé l’école secondaire, elle s’est inscrite au programme sur la loi et la sécurité publique au collège Cambrian, à Sudbury. Elle a ensuite étudié à l’université Carleton en criminologie. Après avoir passé son dernier examen universitaire, elle a pris un autobus à destination de Toronto et obtenu un emploi au sein du service de police de la Ville reine.

Lorsqu’elle a quitté les rangs du service de police de Toronto, Sue ne savait pas trop vers où se diriger. « J’étais un peu perdue », explique-t-elle. Elle cherchait une carrière qui lui permettrait de mettre à contribution son goût marqué pour les processus d’enquête.

L’assurance ne faisait pas partie des projets de Sue. « Par chance, j’ai rencontré par hasard un ancien collègue qui travaillait à titre d’enquêteur, raconte-t-elle. Il m’a ensuite téléphoné pour me dire qu’une compagnie d’assurance était à la recherche d’un enquêteur et m’a transmis les renseignements dont j’avais besoin pour présenter une demande d’emploi. » Sue a ensuite passé une entrevue et obtenu l’emploi, et tout s’est enchaîné.

Le parcours de Sue en assurance

Sue n’a pas commencé son parcours professionnel dans le domaine de l’assurance, mais elle a fini par mener dans ce domaine une carrière enrichissante qui lui a fourni de nombreuses occasions d’apprendre et d’évoluer.

Dès qu’elle a opté pour l’assurance, elle a su qu’il lui fallait approfondir ses connaissances et son expertise techniques. Très tôt au début de sa carrière en assurance, elle a commencé à suivre des cours du programme de Professionnel d’assurance agréé (PAA). Aujourd’hui, elle continue de prendre régulièrement part à des séminaires et à des activités de réseautage, pour rester au fait des nouvelles tendances.

L’assurance a permis à Sue de mener une carrière correspondant à ses passions, à ses valeurs et à ses buts. Le travail qu’elle a effectué jusqu’ici au sein de l’unité spéciale d’enquête de différents assureurs a toujours présenté une grande variété, et chaque jour lui apporte quelque chose de nouveau.

Les fonctions de Sue consistent surtout à faire enquête sur des collisions automobiles suspectes susceptibles d’avoir été mises en scène, et son expérience à titre de policière lui est régulièrement d’une grande utilité dans son travail. Dans le cadre du règlement des sinistres, les dossiers passent par plusieurs étapes avant d’arriver sur le bureau de Sue, et celle-ci détermine alors si une enquête complète est requise. Pour faire en sorte que les enquêtes soient effectuées correctement, Sue travaille en étroite collaboration avec diverses parties, notamment des analystes en matière de fraude, des témoins, des conducteurs et des passagers. Au besoin, elle fait appel à un ingénieur qui procédera à la reconstitution de l’accident et se rendra sur les lieux du sinistre afin de recueillir des éléments de preuve. Il arrive parfois que Sue doive témoigner devant le tribunal si des accusations criminelles sont déposées contre l’une des personnes impliquées dans un accident.

Pourquoi avoir choisi l’assurance?

Sue décrit sa carrière comme stimulante et agréable. « On pourrait croire qu’au bout de 22 ans à exercer le même emploi, j’aurais fait le tour du jardin, mais c’est loin d’être le cas », dit Sue. Si d’aventure il lui arrive de se dire qu’elle n’a plus rien à apprendre, un nouveau défi se présente à elle et propulse sa carrière dans une toute nouvelle direction. Elle aime beaucoup le fait que l’industrie évolue et change constamment.

« J’aime aussi la stabilité et la sécurité que procure l’assurance », ajoute-t-elle. Sue apprécie également le fait que son travail contribue à aider les gens qui traversent des moments parmi les plus difficiles de leur vie. Elle s’est également bâti un formidable réseau professionnel auquel elle peut faire appel dans le cadre de ses fonctions, et a aussi noué de nombreuses amitiés.

Conseils et idées

Sue, qui est arrivée dans le domaine de l’assurance après avoir changé de carrière, sait très bien à quel point il est difficile d’apprendre les tenants et aboutissants d’une nouvelle industrie, de se créer un réseau à partir de zéro et d’acquérir les compétences techniques requises pour réussir. Grâce aux programmes menant à l’obtention d’un titre professionnel et aux séminaires offerts par l’Institut d’assurance, Sue a acquis de solides connaissances en assurance, qui sont venues s’ajouter à son expertise en matière d’enquête.

Sue tient aussi à redonner à l’industrie. Elle est récemment devenue ambassadrice de Connexion carrières et agit de façon informelle à titre de mentor auprès de nombre de ses collègues. Elle recommande également de suivre quelques cours du programme de PAA donnés en classe, car ce contexte d’apprentissage permet de faire du réseautage avec les pairs. « Cela vous permettra d’en savoir davantage au sujet de l’industrie et de rencontrer des gens qui ont des intérêts et des compétences semblables aux vôtres. »

Wildfire


Les feux de forêt : deux leçons appliquées à High Level, en Alberta

Celyeste Power, vice-présidente, région de l’Ouest, BAC, nous fait part des leçons tirées de l’expérience des feux de forêt de l’Alberta et de leur application.

Les feux de forêt constituent un danger bien réel qui représente une menace pour la vie des Canadiens et des Canadiennes. La température estivale sèche et chaude fait en sorte que lorsqu’un feu de forêt se déclenche, il peut se propager rapidement, brûler intensément et semer le chaos dans toute une communauté. La crise qui a récemment secoué la ville de High Level et d’autres régions du nord de l’Alberta a été l’occasion, pour le Bureau d’assurance du Canada (BAC), de mettre en pratique les leçons qu’il avait tirées de son intervention lors d’autres feux de forêt, dont celui qui avait frappé Fort McMurray. Ces leçons ont contribué à guider notre intervention lorsque nous sommes venus en aide aux résidents de High Level et seront précieuses dans l’avenir.

Leçon 1 : Agir vite, et coordonner les interventions
En situation de crise, il est essentiel de réagir rapidement et de communiquer sans tarder avec les instances chargées de prendre les décisions sur les meilleures façons de gérer la situation. Le BAC déploie maints efforts afin de coordonner son action le plus tôt possible avec les représentants gouvernementaux lors de la gestion de crises d’envergure comme les feux de forêt.

À High Level, nous avons mis à contribution une relation déjà existante avec les représentants de l’Alberta Emergency Management Agency afin d’appuyer ces derniers dans le travail qu’ils effectuaient sur le terrain. Cette relation, que nous avions bâtie sur plusieurs années, s’était vraiment renforcée lors des feux de forêt de Fort McMurray. Le fait de coordonner notre action avec celle des représentants gouvernementaux permet aux membres du BAC d’intervenir de concert avec les équipes d’intervention d’urgence et de continuer à faire partie de ces équipes lorsque la crise se résorbe et que débute l’étape de la reconstruction. À Fort McMurray, le BAC a dirigé une opération de nettoyage de grande envergure et coordonné les intervenants de l’industrie, qui ont procédé à l’enlèvement des décombres et des « appareils blancs » (réfrigérateurs et congélateurs) endommagés. Lors des feux de forêt survenus dans le nord de l’Alberta, le fait de coordonner rapidement les interventions nous a permis de renforcer encore davantage le sentiment de confiance et les relations que nous avions déjà établies par le passé. Les représentants du BAC ont travaillé au centre provincial des opérations et contribué à la préparation des bilans émis à intervalles réguliers par le gouvernement.

Leçon 2 : Communiquer de façon proactive
Lors d’un feu de forêt, il est essentiel de se mobiliser le plus vite possible afin de fournir une aide d’urgence. À High Level, non seulement avons-nous coordonné notre action avec les représentants des organismes de gestion des urgences, mais nous avons tout mis en œuvre afin d’acheminer rapidement des renseignements de première importance aux personnes les plus touchées.

Lors d’une situation de crise, nous visons à constituer une sorte de centrale à laquelle les résidents et les personnes évacuées peuvent s’adresser en tout temps pour obtenir réponse à leurs questions sur l’assurance. Nous travaillons à déboulonner les mythes, aidons les gens à déterminer les prochaines étapes à suivre, apportons une aide financière aux clients et contribuons à faire démarrer le processus de règlement des sinistres.

Habituellement, nos représentants distribuent des documents imprimés directement aux résidents et travaillent de concert avec les médias dans le but de diffuser des informations utiles et pertinentes. Nous utilisons également diverses plateformes en ligne comme www.ibc.ca, Facebook et Twitter afin de communiquer avec les membres de la communauté affectée par les feux de forêt.

Nous avons eu tout particulièrement recours à ce mode de communication lors des feux de forêt qui ont touché l’Alberta. Nous avons créé une page Web exclusivement dédiée à ce sinistre, ce qui nous a été très utile pour transmettre des renseignements exacts et fiables aux clients et au gouvernement.

Dans de nombreuses situations, comme les incendies de Fort McMurray, nous avons également déployé notre Unité mobile d’aide à la communauté (UMAC). L’UMAC peut être déployée de façon flexible, c’est-à-dire que le nombre de personnes qui y sont affectées par le BAC est proportionnel à l’ampleur de la crise. Lorsque nous ne déployons pas l’UMAC sur le terrain lors d’une situation d’urgence, nous faisons appel aux outils mentionnés précédemment afin d’offrir nos services en ligne.

Il est fort possible que les feux de forêt soient encore plus fréquents dans le futur, et en tant que seconds répondants, les assureurs seront plus souvent appelés à intervenir sur le terrain. Pour l’industrie de l’assurance, il est fondamental non seulement de garder ces leçons à l’esprit, mais aussi de continuer à apprendre afin de renforcer le lien de confiance avec le public et d’offrir la meilleure assistance possible aux personnes sinistrées, dans les moments où elles en ont le plus besoin.






Pourquoi choisir le programme de PAA?


Les raisons qui incitent les gens à obtenir le titre de Professionnel d’assurance agréé (PAA®) sont aussi diverses que les personnes qui entreprennent cette démarche. Le titre de PAA est la référence en matière de professionnalisme en assurance pour les personnes qui commencent une carrière dans ce domaine ou qui désirent aller plus loin sur le plan professionnel. Nous avons interrogé à ce sujet Mme Siobhan Callander, spécialiste, service du règlement des sinistres, ICBC.

Crescendo : Pour quelles raisons avez-vous décidé d’entreprendre le programme menant au titre de PAA?

Siobhan: J’ai décidé de suivre les cours du programme de PAA afin d’approfondir ma compréhension de l’industrie de l’assurance dans son ensemble, au-delà de l’entreprise où je travaille, l’ICBC. Les cours étaient offerts par l’entremise de mon employeur, et j’ai cru qu’il serait avantageux de saisir cette occasion de pousser plus loin ma formation.

Crescendo : En quoi le titre de PAA vous a-t-il été utile dans votre travail de tous les jours?

Siobhan: La matière des cours que j’ai suivis a contribué à accroître mon sentiment de confiance dans le cadre de mes échanges avec mes partenaires, mes clients et les collègues de mon entreprise. Selon moi, une bonne compréhension de la terminologie du domaine et de son application constitue un immense atout.

Crescendo : L’obtention de votre titre de PAA vous a-t-elle ouvert des portes dans votre carrière?

Siobhan: L’obtention du titre de PAA m’a permis d’offrir mes services à titre d’animatrice à l’Institut d’assurance. Je suis heureuse de poursuivre ainsi mon parcours de formation, et cet engagement bénévole me donne la possibilité de renforcer mes relations avec d’autres professionnels de l’industrie de l’assurance.

Crescendo : What message do you have for anyone in the industry considering getting their CIP?

Siobhan: Quel message souhaitez-vous communiquer aux personnes évoluant dans notre industrie qui songent à entreprendre le programme de PAA?


Promotional videos


Le maintien des normes élevées en vigueur dans l’industrie de l’assurance canadienne

Nos toutes nouvelles vidéos promotionnelles

Nous sommes fiers de célébrer le fait que l’on compte au Canada plus de 18 000 diplômés du programme de Professionnel d’assurance agréé. Ces diplômés ont acquis une formation et des connaissances qui les rendent pleinement préparés pour l’avenir. Le programme de PAA est notre programme de formation phare. Il est reconnu par l’industrie, qui le considère comme la référence en matière de professionnalisme dans le domaine de l’assurance.

C’est pour cette raison que l’un de nos mandats consiste à faire en sorte que le plus de Canadiens et Canadiennes possible, tant parmi les membres de l’industrie que du public consommateur d’assurance de dommages, connaissent la valeur des titres de PAA et de FPAA.

C’est dans ce but que nous avons conçu nos nouvelles vidéos promotionnelles. Notre première vidéo s’inscrit dans le prolongement de notre campagne s’adressant aux consommateurs, qui fait la promotion de nos titres professionnels auprès des personnes qui se procurent de l’assurance. La vidéo adopte un ton humoristique et met en scène un instructeur d’autodéfense un peu nigaud, afin d’expliquer l’importance des normes dans toute industrie, en particulier en assurance. Si vous n’avez pas vu cette première vidéo, qui a été visionnée plus de 1,2 million de fois sur YouTube, vous pouvez la voir ici (en anglais seulement).

C’est avec grand plaisir que nous vous présentons la deuxième vidéo de la série! Cette vidéo (en anglais seulement), qui met en scène un garde de sécurité un peu niais, transmet un message similaire à la première.

Pour voir les vidéos conçues dans le cadre de la campagne destinée aux consommateurs francophones, cliquez ici et ici.

Nos autres vidéos s’adressent aux gens qui évoluent dans l’industrie de l’assurance de dommages. Elles expliquent comment les diplômés PAA se tiennent à jour dans une industrie en constante évolution, et pourquoi ils sont pleinement en mesure de répondre à toutes sortes de besoins complexes en assurance.

N’hésitez pas à les faire circuler!

Si vous êtes un diplômé PAA ou FPAA, nous vous invitons à faire circuler ces vidéos dans votre réseau. Elles mettent avantageusement en valeur les titres professionnels pour lesquels vous avez étudié si fort et font état des normes élevées en matière de professionnalisme auxquelles vous adhérez.

Si vous avez des commentaires, nous aimerions les connaître! N’hésitez pas à communiquer avec nous à social@insuranceinstitute.ca.




ethics


Nous aimerions connaître votre opinion sur un problème d’ordre éthique


Étant donné la complexité des principes et pratiques en assurance, des problèmes d’ordre éthique surviennent en milieu de travail probablement plus souvent que vous le croyez. La capacité de déterminer quand une situation doit faire l’objet d’une attention particulière, la connaissance des ressources dont vous disposez, notamment le Code de déontologie de l’Institut ainsi que le code de déontologie ou de conduite de votre entreprise, puis l’adoption de bonnes pratiques en matière de déontologie sont autant de compétences essentielles aux professionnels de l’assurance. L’adoption de bonnes pratiques sur le plan éthique reflète l’adhésion à des normes élevées en matière d’intégrité, de professionnalisme et de reddition de comptes.

Dans le présent numéro de Crescendo, nous faisons état d’un problème d’ordre éthique qui est susceptible de se présenter dans les petites communautés et vous demandons de nous dire ce que vous en pensez.

Nous aimerions publier, dans un futur numéro de Crescendo, certains des commentaires les plus pertinents que nous recevrons de nos diplômés, pour que l’ensemble de nos membres puisse en profiter.

Voici la situation sur laquelle vous devrez vous pencher :

Dans une petite ville, une courtière s’enorgueillit de sa capacité à établir et à maintenir de bonnes relations tant au sein de sa collectivité qu’avec ses associés du milieu de l’assurance. Elle siège à plusieurs conseils d’administration d’organismes de la communauté et s’implique activement auprès de son institut d’assurance régional. Ces relations lui permettent notamment d’offrir un excellent service à ses clients.

Comme il existe peu d’entrepreneurs généraux dans la ville, il est difficile d’en trouver lorsqu’un sinistre survient. Par conséquent, la courtière a conclu une entente avec le directeur du service des sinistres de l’assureur avec lequel elle fait le plus souvent affaires. Selon cette entente, la courtière fait appel à un expert en sinistres en particulier qui, par la suite, embauche un entrepreneur, toujours le même, qui s’acquitte de tous les travaux de réparation et de reconstruction pour les clients de la courtière.

En raison de cette entente et vu l’absence de concurrence, l’entrepreneur peut demander le prix qu’il veut. À première vue, il est difficile de déterminer si l’entrepreneur gonfle le prix de ses soumissions et, le cas échéant, dans quelle mesure. Il accomplit un travail d’excellente qualité, et peu de plaintes ont été formulées contre lui ou son équipe.

Il arrive parfois que l’entrepreneur commande des matériaux qu’il fait livrer au domicile de l’expert en sinistres ou à celui de la courtière, pour leur usage personnel. L’année dernière, à l’aide de ces matériaux, l’expert a fait repeindre sa maison et la courtière a fait construire une nouvelle terrasse. L’entrepreneur et la courtière ont aussi fait don d’une partie des matériaux au centre communautaire de la ville et se sont vu remercier de leur générosité dans le journal local.

Le directeur du service des sinistres est d’avis que cette façon de procéder est bonne pour les affaires, car s’il faisait venir des entrepreneurs d’autres parties de la province, les travaux de réparation et de remplacement coûteraient plus cher et exigeraient plus de temps. Aucun des supérieurs du directeur n’a émis de réticences sur cette façon de procéder, et le directeur jouit d’une très bonne réputation dans le milieu des affaires. Pour exprimer sa reconnaissance au directeur du service des sinistres et pour souligner leur excellente relation professionnelle, la courtière prête à ce dernier son chalet une semaine par année.

Vu le caractère unique de la situation et les résultats favorables que cette entente engendre pour la ville, la courtière et le directeur du service des sinistres n’ont jamais remis en question leurs actions. Dans ce scénario, la courtière, l’expert en sinistres et le directeur du service des sinistres agissent-ils d’une manière conforme à l’éthique? Comment la courtière peut-elle servir ses clients le mieux possible? Et quelle serait la meilleure façon, pour elle, de maintenir de bonnes relations de travail au sein de sa petite communauté?

Envoyez vos réponses à ethics@insuranceinstitute.ca. On communiquera avec vous si votre réponse est choisie pour publication. Nous vous remercions à l’avance de votre participation.

Pour en savoir plus

Saviez-vous que la Société des PAA publie régulièrement une rubrique sur la déontologie dans la revue Canadian Underwriter? Chaque rubrique explore les enjeux entourant un problème d’ordre éthique rencontré dans la vraie vie et avec lequel les professionnels de l’assurance de dommages sont susceptibles d’être un jour aux prises dans le cadre de leur travail. Vous pouvez lire les rubriques publiées par le passé en vous rendant sur notre site Web.

 

Fun facts


Faits intéressants sur l’assurance

Vous croyez que l’assurance est un domaine ennuyeux? Détrompez-vous! Voici quelques faits intéressants au sujet du merveilleux monde de l’assurance :

  • Les parcs d’attractions comptent parmi les lieux de divertissement les plus fréquentés pendant la saison estivale. Or les manèges doivent répondre à des normes de sécurité très strictes, et les parcs d’attractions doivent souscrire une assurance d’un montant minimal de deux millions de dollars canadiens.
  • Saviez-vous qu’une chaîne de cafés du Royaume-Uni a assuré les papilles gustatives de son goûteur de café pour un montant de 10 millions de livres? Cela correspond à plus de 17 millions de dollars canadiens! On le dit capable de distinguer des milliers de saveurs différentes, ce qui lui permet de détecter les éventuels défauts du produit!
  • Chaque vignoble où sont cultivés des raisins destinés à la production de vin est assuré! Même les personnes qui possèdent une collection de vins millésimés sont assurées en cas de sinistre.




Nouvelles de la Société des PAA

Notre programme d’épargne

Saviez-vous que la Société des PAA, en partenariat avec Venngo Inc., offre à ses membres la possibilité de réaliser des économies grâce à son programme MemberPerks®? MemberPerks® vous donne instantanément accès, ainsi qu’à votre famille, à d’avantageux rabais dans différentes boutiques haut de gamme et commerces locaux où vous magasinez, vous restaurez ou vous divertissez.

Rendez-vous sur le site cip.venngo.com afin d’ouvrir un compte et d’accéder immédiatement aux rabais. Et pour faire des économies lors de vos déplacements, téléchargez l’application mobile Venngo.

Vous avez des questions? Prenez part à notre webinaire interactif qui aura lieu le mardi 10 septembre; il sera animé par Mme Whitney Moore, responsable du succès client chez Venngo. Inscrivez-vous aujourd’hui.

La série d’articles sur des sujets d’actualité de la Société des PAA

En tant que membre de la Société des PAA, vous contribuez à soutenir la réalisation de diverses recherches et études ainsi qu’au maintien de notre bibliothèque d’articles sur des sujets d’actualité, qui est accessible à tous les membres de l’industrie. Publiés depuis 2007, nos articles ont abordé une grande variété de sujets chauds comme les assurances spécialisées et les nouveaux produits.

De nos archives : Les assurances spécialisées

L’assurance couvrant les vins et les collections de vins (2011)

Le vin représente différentes choses pour différentes personnes. Pour le vinificateur, il s’agit de sa création. Pour le propriétaire de vignoble, il constitue un produit. Pour le restaurateur ou l’exploitant de bar, il fait partie des stocks. Le vin est également une boisson qui, pour bien des gens, se consomme avec un repas. Pour certaines personnes, la collection de vins constitue un passe-temps, et pour d’autres, il s’agit d’un investissement. Bien qu’il soit difficile de trouver des statistiques et des renseignements sur la prévalence des collections de vins, il existe de l’information sur les recettes générées par les ventes aux enchères de grands crus, et les chiffres sont impressionnants : en janvier dernier, des ventes aux enchères de vin tenues à Hong Kong ont rapporté la somme de 25,5 millions de dollars américains. Qu’une personne achète et garde des vins en attendant de les déguster un jour ou dans le but de les vendre à profit plus tard, il vaut la peine de se pencher sur la question de l’assurance des collections de vins (et d’aborder le sujet avec les clients).

L’assurance des œuvres d’art (2013)

Les raisons pour lesquelles les gens collectionnent les œuvres d’art sont aussi diversifiées que les œuvres elles-mêmes. L’amour de l’art et des artistes est sans doute un important facteur de motivation pour de nombreux collectionneurs, mais la valeur des œuvres en tant qu’investissements constitue aussi un solide incitatif. « En ces temps d’incertitude financière, un nombre croissant de gens se sont mis à considérer les œuvres d’art comme une catégorie d’actifs avantageuse, car le marché de l’art n’est pas soumis à des fluctuations extrêmes et a donc tendance à être moins volatil », dit Mme Ann-Louise Seago, vice-présidente et rédactrice production principale à la société AXA ART, au Canada. « Ainsi, un collectionneur d’art peut diversifier son portefeuille de placements et conserver une source de liquidités stable, tout en ayant le loisir d’admirer de superbes objets. » Le fait que les banques acceptent les œuvres d’art à titre de garanties lorsqu’elles consentent des prêts atteste la valeur élevée de l’art en tant qu’investissement.

L’assurance dans le monde du sport (2016)

L’anxiété suscitée par les commotions subies par nos jeunes et par les athlètes professionnels n’a pas diminué, mais la volonté politique de s’attaquer à cette question s’accentue. Aux États-Unis, les recours collectifs intentés contre la Ligue nationale de football (NFL) et la Ligue nationale de hockey (LNH) progressent en faveur des plaignants. Une poursuite reliée à une commotion qui avait été déposée en Colombie-Britannique au nom d’un ancien joueur de la Ligue canadienne de football a été déboutée par le juge-président pour des raisons de compétence. Cette décision fait maintenant l’objet d’un appel. Entre-temps, les problèmes abondent avec la tenue des Jeux olympiques 2016 de Rio en dépit des craintes suscitées par le virus Zika, de la contamination de l’eau et de la piètre sécurité. Cet article se penche sur les risques de santé associés au monde du sport, dont les risques des voyages, et sur le débat au sujet du « granulé de caoutchouc », un composant de certaines formes de gazon artificiel.






Le babillard

Appel à contributions

Souhaitez-vous :

  • partager votre connaissance de l’industrie et votre compréhension des meilleures pratiques?
  • acquérir de nouvelles compétences qui pourraient constituer un atout pour votre carrière?
  • prendre part à une expérience des plus stimulantes en matière de perfectionnement professionnel?

Songez à vous joindre à notre groupe de professionnels de l’industrie afin d’apporter votre contribution à la bibliothèque d’articles en ligne de l’Institut d’assurance et à l’élaboration des contenus didactiques.

Nous sommes à la recherche de bénévoles possédant :

  • au moins trois à cinq années d’expérience dans l’industrie de l’assurance de dommages, par exemple dans le domaine de l’appréciation du risque, du règlement des sinistres, de la gestion des risques ou de la vente;
  • une expertise dans des domaines émergents ou en évolution rapide, comme l’analyse des données, les risques liés au climat, les véhicules autonomes et la cybersécurité;
  • des disponibilités leur permettant de consacrer au moins 20 heures de travail réparties sur une période de deux ou trois mois.

Il n’est pas nécessaire d’avoir de l’expérience en rédaction ou en enseignement, car un réviseur expérimenté vous guidera et vous aidera durant tout le processus d’élaboration.

En tant que bénévole :

  • votre nom sera inscrit à la page des remerciements, dans le manuel auquel vous aurez collaboré et dans le rapport annuel de l’Institut;
  • vous favoriserez votre perfectionnement professionnel, solidifierez votre engagement auprès de l’industrie et augmenterez votre expertise;
  • vous recevrez des honoraires en échange de votre contribution.

Si vous ou l’une de vos connaissances souhaitez mettre votre expertise à contribution et prendre part à l’élaboration des programmes de certificat ou menant à l’obtention d’un titre professionnel de l’Institut, communiquez avec nous à l’adresse academicprograms@insuranceinstitute.ca

On vous demandera de remplir un court formulaire en ligne indiquant votre expérience et vos titres professionnels. L’équipe des programmes d’études déterminera ensuite dans quelle mesure votre expertise correspond aux projets en cours de réalisation. L’Institut d’assurance a besoin de vos connaissances!

Liste à jour des manuels de cours et des guides de référence des étudiants

Tous les cours du programme de PAA sont accompagnés d’un manuel complet élaboré par les instituts d’assurance. Vous trouverez, sur le site Web de l’Institut, une Liste à jour des manuels, guides de référence de l’étudiant et addendas qui indique la plus récente édition du matériel didactique que vous devez vous procurer.

Assemblée générale annuelle 2019 de l’IAC

La 66e assemblée générale annuelle de l’Institut d’assurance du Canada aura lieu le mardi 29 octobre, à l’hôtel Sheraton Cavalier Saskatoon, situé au 612, Spadina Crescent E, Saskatoon, SK S7K 3G9. L’assemblée débutera à 15 h 30, et l’ordre du jour sera le suivant :

  • Avis de convocation et appel
  • Lecture du procès-verbal
  • Rapports des administrateurs, des conseils et des comités (et allocution du président)
  • États financiers annuels et rapport des vérificateurs
  • Approbation des actes des administrateurs
  • Élections
  • Nomination des vérificateurs et détermination des honoraires
  • Autres affaires dûment proposées devant l’assemblée
  • Levée de la séance

S.J. (Jeff) Goy, ACAS, CIP
Président du Conseil des gouverneurs

Peter Hohman, MBA, FCIP, ICD.D
Professionnel d’assurance agréé
Président et chef de la direction

Renouvelez votre adhésion. Restez au courant.

En tant que membre, vous pouvez continuer à donner un élan à votre carrière en obtenant les titres convoités de PAA, de PAAA et de FPAA, en suivant nos programmes de certificat en gestion des risques et en assurance des entreprises ainsi qu’en profitant des nombreuses occasions de perfectionnement professionnel qui vous permettent d’acquérir des connaissances de pointe et de connaître les pratiques en cours dans l’industrie.

L’année d’adhésion s’échelonne du 1er juin au 31 mai. Nous avons déjà envoyé des avis à nos membres ou à leur employeur par courriel ou par la poste, et notre Service aux membres s’affaire actuellement à traiter les paiements reçus. Si vous n’avez pas encore renouvelé votre adhésion, nous vous invitons à faire parvenir votre paiement le plus tôt possible, afin d’éviter toute interruption de service.

Renouvelez votre adhésion et faites votre paiement en ligne. C’est simple et rapide :

  1. Rendez-vous au www.institutdassurance.ca.*
  2. Ouvrez une session et cliquez sur « Mon profil », puis sur « Mon statut de membre »

Si vous n’avez pas encore reçu d’avis de renouvellement, veuillez communiquer le plus rapidement possible avec l’équipe du Service aux membres, au 1 866 362-8585, du lundi au vendredi, de 8 h à 19 h, heure de l’Est.

* Rendez-vous au www.institutdassurance.ca afin d’accéder à votre profil. N’oubliez pas de mettre à jour vos coordonnées si elles ont changé.

Le rapport annuel de l’IAC

Le rapport annuel de l’Institut d’assurance du Canada, pour l’année 2017-2018, sera bientôt disponible en français.

Si vous souhaitez en obtenir une copie, faites-en la demande par courriel, à iicmail@insuranceinstitute.ca ou par télécopieur, au 416 362-1126.

Les galas de remise des diplômes

La nouvelle session inaugure également la période des galas de remise des diplômes, en hommage aux nouveaux diplômés. Nos diplômés ont consacré beaucoup de temps et d’énergie à l’obtention de leur titre professionnel. Ils méritent que nous leur rendions pleinement hommage. Notez à votre agenda cette occasion de participer à un événement bien spécial. Appuyons les diplômés de notre région!


Terre-Neuve-et-Labrador :

Samedi 9 novembre 2019, au Comfort Inn, à St. John’s

Île-du-Prince-Édouard :

Mardi 5 novembre 2019, au Delta Prince Edward, à Charlottetown

Nouveau-Brunswick :

Vendredi 8 novembre 2019, à l’hôtel Crown Plaza, à Moncton

Nouvelle-Écosse :

Mercredi 6 novembre 2019, au Casino Nova Scotia, à Halifax

Ontario:

 

Section de Cambrian Shield :

Mardi 5 novembre 2019, à Sudbury. Lieu à confirmer.

Section d’Ottawa :

Vendredi 29 novembre 2019, à l’Infinity Convention Centre, à Ottawa

Section du Sud-Ouest de l’Ontario :

Jeudi 14 novembre 2019, au Best Western/Lamplighter Inn & Conference Centre, Crystal Ballroom, à London

Manitoba:

Mercredi 13 novembre 2019, à l’hôtel Fort Garry, à Winnipeg

Saskatchewan:

Jeudi 14 novembre 2019, à Regina. Lieu à confirmer.

Nord de l’Alberta :

Jeudi 21 novembre 2019, au Doubletree West Edmonton, à Edmonton

Sud de l’Alberta :

Mercredi 27 novembre 2019, au BMO Centre, The Calgary Stampede, salle Palomino, à Calgary

Colombie-Britannique :

Mercredi 20 novembre 2019, à l’hôtel Pan Pacific, à Vancouver

Section de Victoria :

Vendredi 22 novembre 2019, au Victoria Golf Club, à Victoria

Section de Kelowna :

Jeudi 28 novembre 2019, à Kelowna. Lieu à confirmer.

D’autres galas des lauréats sont prévus au cours des mois qui viennent. Pour en savoir davantage, consultez le prochain numéro de Crescendo.