Crescendo - Printemps 2020



Pat Van Bakel


Pat Van Bakel : Les événements météorologiques extrêmes et leurs répercussions sur l’expertise des sinistres


Selon une nouvelle étude publiée par l’Institut d’assurance du Canada, la moyenne des indemnités versées annuellement par les assureurs au Canada par suite d’événements météorologiques extrêmes pourrait plus que doubler dans les 10 prochaines années. Les risques climatiques présentent à la fois des défis et des occasions à saisir pour tous les secteurs de l’industrie de l’assurance. Crescendo s’est récemment entretenu avec M. Pat Van Bakel, président du Conseil de l’Institut d’assurance du Canada ainsi que président et chef de la direction de la société Crawford Canada, afin d’obtenir son point de vue au sujet des répercussions des événements météorologiques extrêmes sur le travail des experts en sinistres indépendants.

« Il est indéniable que le caractère instable du climat et la gravité des événements météorologiques sont devenus une préoccupation plus importante pour le domaine des sinistres », dit M. Van Bakel.

En raison des hausses importantes du volume des sinistres qui découlent de ce type d’événement, il devient de plus en plus difficile, pour l’industrie, de maintenir une capacité suffisante pour être en mesure d’indemniser les victimes de ces sinistres. « Le moment et le lieu de survenance de ces événements, ainsi que leur nature, sont imprévisibles, mais ce qui est certain, c’est qu’ils vont survenir », affirme M. Van Bakel.

Dans ce contexte, comment les entreprises de gestion des sinistres comme Crawford s’adaptent-elles aux changements qui affectent les tendances météorologiques et la fréquence des événements météorologiques de grande envergure? « Notre entreprise peut compter sur un réseau de ressources diversifié comprenant des experts en sinistres de catastrophe qui œuvrent partout dans le monde, particulièrement en Amérique du Nord. Nous pouvons faire appel à ce réseau au besoin pour obtenir de l’aide dans la réalisation des diverses tâches liées au règlement des sinistres ou pour profiter d’une expertise particulière, selon le type de sinistre. » Qu’il s’agisse d’un tremblement de terre, d’une tempête de vent, d’une chute de grêle, d’une inondation ou d’autre chose, M. Van Bakel affirme que l’entreprise peut faire appel à des milliers de spécialistes compétents qui sont prêts et disposés à intervenir en cas de catastrophe. « Nous pouvons avoir recours à eux au besoin, dit-il. Il peut s’agir d’hivernants ou de retraités qui sont heureux de pouvoir travailler quelques mois par année ou de jeunes professionnels qui recherchent les défis et la variété que ce secteur de notre industrie est en mesure de leur offrir. »

De plus, la technologie a changé le mode de règlement des sinistres, avec l’arrivée des outils libre-service, de la collecte de données à la demande et des solutions numériques. « Nous avons commencé à avoir recours à l’économie à la demande par le biais d’une entreprise appelée WeGoLook, qui constitue en quelque sorte l’équivalent d’Uber dans le domaine des inspections. Nous demandons à des gens d’aller sur place recueillir des renseignements et prendre des photos, ou simplement remettre des documents explicatifs aux titulaires de contrats. Ces personnes ne possèdent pas les compétences nécessaires pour procéder au traitement des sinistres, mais elles peuvent aider l’expert en sinistres en le tenant au courant de ce qui se passe sur le terrain. Cette façon de faire permet de gagner du temps, car une plus grande partie du travail peut alors être effectuée à partir du bureau. »

M. Van Bakel ajoute qu’un plus grand nombre de tâches liées au règlement des sinistres sont dorénavant réalisées au moyen des différents outils numériques récemment mis au point. Ces innovations favorisent l’établissement de relations plus étroites que jamais entre les titulaires de contrat et les fournisseurs de services de règlement des sinistres. « Le libre-service et l’intégration des données libèrent les experts en sinistres et leur permettent de se concentrer davantage sur les tâches essentielles qu’ils doivent réaliser pour procéder au traitement des sinistres en fournissant le meilleur service possible. Ainsi, Crawford a mené en 2019 plus de 30 projets différents qui étaient essentiellement centrés sur l’innovation. »

M. Van Bakel fait remarquer que le Canada possède une excellente réputation à travers le monde en matière de traitement des sinistres. « La communauté internationale du domaine des sinistres tient les experts canadiens en grande estime, dit-il. Le monde se tourne vers le Canada lorsque survient un événement catastrophique, parce que les gens ont une grande confiance dans les capacités des experts en sinistres canadiens. Les titres professionnels décernés par l’Institut d’assurance du Canada (IAC), comme les titres de PAA et de FPAA, sont reconnus partout dans le monde. Il est très rare qu’une année se passe sans que des experts en sinistres d’ici soient présents à l’étranger; d’ailleurs, à l’heure actuelle, des experts canadiens travaillent en Australie afin d’aider au traitement des demandes d’indemnité qui découlent des incendies dévastateurs qui font rage dans ce pays. »

Pour conclure, M. Van Bakel affirme qu’une carrière dans le domaine du règlement des sinistres peut être très enrichissante. « Si je me fie à ma propre expérience et d’après ce que je sais de l’expérience d’autres experts avec qui j’ai parlé, il est extrêmement motivant de savoir que l’on peut venir en aide à des gens qui traversent la période la plus difficile de leur vie. »

Voici les conseils que Pat Van Bakel donne aux personnes qui s’intéressent à une carrière dans le domaine du règlement des sinistres :

  • Pour être un bon expert en sinistres, il faut faire preuve de curiosité, savoir régler les problèmes et oser sortir des sentiers battus. Bien sûr, il faut posséder des compétences et des aptitudes techniques, mais il est tout aussi important d’avoir des compétences générales comme la capacité de composer avec le stress, de travailler de façon intensive par intermittence, de communiquer avec les gens et de faire preuve d’empathie.
  • La formation est essentielle, parce que le public s’attend à ce que vous possédiez un certain degré de connaissances, que vous fassiez montre de professionnalisme et que vous ayez suivi une formation adéquate. Pour pouvoir bâtir une carrière, il faut pouvoir s’appuyer sur une formation acquise par des voies formelles et informelles ou par l’expérience. Dans certains cas, vous devrez suivre des cours de formation afin de pouvoir conserver votre permis. Profitez des cours de formation continue spécialisés offerts par votre entreprise ou par l’Institut afin d’approfondir vos connaissances et rehausser votre expertise, dans votre domaine de spécialité.
  • Trouvez un mentor, c’est-à-dire une personne qui peut vous aider à vous y retrouver dans l’industrie. L’expertise des sinistres est un domaine très différent de ce qu’il était jadis. Il comporte désormais beaucoup plus de sphères de spécialisation, comme la cyberassurance, les catastrophes, les incendies, les inondations et les accidents. Trouvez une personne qui possède une vaste expérience dans le domaine de spécialité qui vous intéresse et essayez d’en apprendre le plus possible de cette personne.



Amy Dale


Mettez vos talents à profit dans le secteur de l’assurance des entreprises


À mesure que le monde de l’assurance évolue, de plus en plus de possibilités de carrière s’ouvrent aux professionnels qui possèdent des connaissances et des compétences en assurance des entreprises. Crescendo s’est récemment entretenu avec Amy Dale, PAA, qui est directrice du service production chez North Kent Mutual Insurance, au sujet de son expérience en production dans le domaine de l’assurance des entreprises. Nous lui avons aussi demandé en quoi le fait d’avoir obtenu un certificat en assurance des entreprises lui est utile dans son travail de tous les jours.

Crescendo : Dans quelles circonstances avez-vous commencé à travailler dans le domaine de l’assurance des entreprises?

Amy : J’ai commencé à travailler pour une compagnie d’assurance mutuelle à titre de rédactrice production (souscripteure) en assurance des biens il y a un peu plus de six ans. Je procédais à la sélection des risques des particuliers et des entreprises, notamment des entreprises agricoles.

Crescendo : Qu’est-ce que vous aimez dans le travail que vous accomplissez actuellement?

Amy : J’aime beaucoup ce que fait notre entreprise et je suis très fière de faire partie de mon équipe. Nous travaillons bien ensemble et nous arrivons à atteindre nos objectifs communs dans les délais prescrits. Ce que j’aime le plus au sujet de l’assurance des entreprises, c’est que chaque contrat est unique. J’adore procéder à l’évaluation des risques et suggérer certaines méthodes de réduction des risques auxquelles l’assuré n’avait pas pensé.

Crescendo : Pour quelles raisons avez-vous décidé d’entreprendre le programme de certificat en assurance des entreprises de l’Institut d’assurance du Canada?

Amy : Même si je possédais déjà de l’expérience en assurance des entreprises, j’ai décidé de suivre le programme de certificat en assurance des entreprises pour approfondir mes connaissances, dans le but d’accomplir mon travail de façon plus efficace et efficiente.

Crescendo : En quoi le programme vous a-t-il été utile dans votre travail de tous les jours?

Amy : Grâce aux renseignements dont j’ai pu profiter et aux connaissances que j’ai acquises, je suis plus confiante lorsque je présente des soumissions et des devis et lorsque je réponds aux questions touchant l’assurance des entreprises que me posent les agents et les courtiers avec qui je collabore.

Crescendo : Quel message souhaitez-vous communiquer aux personnes évoluant dans notre industrie qui songent à entreprendre le programme de certificat en assurance des entreprises?

Amy : Je recommande fortement ce programme. J’ai trouvé les cours très interactifs : les étudiants ne se bornent pas à mémoriser de la matière en vue de passer leur examen. Les chapitres sont faciles à lire et comportent des études de cas et des exemples qui facilitent la compréhension des garanties abordées. Les exercices sont offerts en ligne selon une formule pratique et se fondent sur des études de cas qui donnent aux étudiants la possibilité d’appliquer les connaissances acquises dans le cadre des cours. J’ai trouvé que ce mode d’apprentissage et de vérification des connaissances constituait une excellente façon d’évaluer dans quelle mesure nous avions assimilé les notions apprises dans les cours.

Crescendo : Qu’aimez-vous faire dans vos temps libres?

Amy : Ce que j’aime faire le plus au monde pendant mes jours de congé, c’est passer du temps avec ma famille, en particulier mes merveilleux petits-enfants.




votre opinion


Nous aimerions connaître votre opinion sur un deuxième problème d’ordre éthique


En présentant à nos membres des situations fictives, nous visons à susciter la discussion sur des situations ambiguës qui peuvent soulever des enjeux d’ordre éthique. Dans le dernier numéro de Crescendo, nous avons publié un échantillon de vos commentaires portant sur une situation fictive qui se déroulait dans une petite localité.

Dans le présent numéro, nous vous présentons une nouvelle situation ambigüe, au sujet de laquelle nous aimerions connaître votre opinion. Nous comptons publier, dans un futur numéro de Crescendo, certains des commentaires les plus pertinents que nous recevrons de nos diplômés, pour que l’ensemble de nos membres puisse en profiter.

Voici la situation sur laquelle vous devrez vous pencher :

Après avoir œuvré dans l’industrie pendant 10 ans, une courtière a connu pour la première fois une période de marché étroit (hard market).

Pendant six mois, elle a consacré beaucoup de temps à ses clients, afin de leur expliquer pourquoi les primes avaient augmenté et pourquoi la portée des garanties avait été réduite. Elle a fait tout ce qui lui était possible pour leur offrir des crédits de primes ou des renouvellements tenant compte de leurs préférences. Malheureusement, en raison de sa charge de travail excessive, elle n’a pu traiter ses renouvellements qu’une semaine avant la date d’expiration des contrats. Les assurés n’ont pas apprécié ce retard, et elle s’est mise à perdre des clients. Lorsqu’elle a demandé de l’aide à la direction de son entreprise, elle n’en a reçu aucune. Tous ses collègues étaient eux aussi surchargés, une situation qui était devenue la nouvelle norme dans l’entreprise.

Puis un jour, alors qu’elle discutait d’un renouvellement avec un rédacteur production, elle a cru trouver une solution. Le rédacteur production était dans la même situation qu’elle. Il subissait des pressions et était obligé de réaliser un pourcentage élevé de renouvellements, dans un contexte où les taux avaient augmenté de 25 % et où certaines garanties étaient réduites ou n’étaient plus offertes au moment du renouvellement. C’est alors que le rédacteur production a fait la suggestion suivante : ils pourraient proposer des renouvellements de contrats en réduisant ou en éliminant des garanties (dont certaines avaient été ajoutées au cours des années précédentes) ou en diminuant les montants de garantie. Ils seraient ainsi en mesure d’offrir aux assurés les mêmes prix que pour les renouvellements précédents, et même d’obtenir de nouveaux clients.

Voici comment ils ont procédé : le rédacteur production déterminait les domaines où le nombre de demandes d’indemnité avait augmenté au cours des deux années précédentes ainsi que les catégories d’affaires où la gravité et la fréquence des sinistres s’étaient avérées problématiques. Dans les secteurs à faible risque, la courtière acheminait une demande au rédacteur production pour qu’il réduise les montants de garantie au moment du renouvellement. La courtière préparait alors un formulaire de renouvellement à l’intention des clients concernés, en n’y indiquant que les renseignements généraux. La courtière et le rédacteur production plaçaient une note dans ces dossiers, avec l’intention de rehausser ultérieurement les montants de garanties lorsque celles-ci redeviendraient plus abordables.

La courtière et le rédacteur production prenaient soin de ne pas appliquer cette stratégie dans le cas des dossiers à risque élevé ou des assurés qui avaient l’habitude d’analyser en détail leurs documents de renouvellement. Pour ces clients, ils prenaient le temps de trouver les garanties demandées.

En procédant de cette façon, le rédacteur production et la courtière ont été capables de maintenir un bon taux de rétention et même de trouver de nouveaux clients.

Au cours de cette période de marché étroit, les clients ont été satisfaits des renouvellements et des prix proposés, et le rédacteur production ainsi que la courtière ont tous deux été félicités par leur employeur. Cette solution semblait servir les intérêts de tous.

Envoyez vos commentaires à ethics@insuranceinstitute.ca. Nous communiquerons avec vous si votre réponse est choisie pour publication. Nous vous remercions à l’avance de votre participation.

Pour en savoir plus

Saviez-vous que la Société des PAA publie régulièrement une rubrique sur la déontologie dans la revue Canadian Underwriter? Chaque rubrique explore les enjeux entourant un problème d’ordre éthique rencontré dans la vraie vie et avec lequel les professionnels de l’assurance de dommages sont susceptibles d’être un jour aux prises dans le cadre de leur travail.


Kamran Afshar


Kamran Afshar : une carrière accidentelle en assurance


Kamran Afshar travaille dans l’industrie de l’assurance depuis 13 ans. Dans le cadre de ses fonctions actuelles à titre de directeur, Assurance des entreprises à la compagnie Intact, il supervise l’ensemble des rédacteurs production œuvrant en assurance automobile, à Toronto. Il aime son travail, mais il ne se serait jamais imaginé occuper ce type d’emploi quand il était enfant. Il nous a raconté comment il en était arrivé à œuvrer en assurance et ce qu’il a appris au cours de sa carrière.

Les parents de Kamran étaient employés dans l’industrie de l’aviation, et son enfance a été marquée par une fascination pour les avions. Il avait hâte de travailler à son tour dans ce domaine. « Durant mes années d’université, j’occupais un emploi d’été chez Air Canada. Puis j’ai accepté un poste permanent dans cette entreprise lorsque j’ai obtenu mon diplôme. » Son avenir semblait tracé d’avance.

Toutefois, en 2006, la société Air Canada a effectué une restructuration et mis à pied plusieurs employés. Comme il était en début de carrière et récemment embauché, Kamran a dû quitter l’entreprise.

Lorsqu’une amie qu’il avait connue à l’université lui a fait savoir que son entreprise cherchait à pourvoir un poste de courtier, Kamran s’est dit qu’il s’agissait de la solution provisoire idéale. « Je me suis dit au départ que j’allais travailler à temps partiel jusqu’à ce que je retourne chez Air Canada. C’était il y a 13 ans. »

Il s’est joint à la compagnie Grey Power Insurance à titre de courtier. « Ces années ont été non seulement les plus ardues, mais aussi les plus enrichissantes de ma carrière. » Dans le cadre de cet emploi en première ligne, il travaillait au téléphone dans le but d’aider et d’orienter les clients existants et d’en trouver de nouveaux. « J’ai appris des techniques de vente, comment gérer mon temps et mes priorités et comment réaliser des gains d’efficacité, et à mesure que j’acquérais de l’expérience, je me suis mis à encadrer d’autres employés pour les aider à réussir. » Les compétences qu’il a ainsi acquises ont constitué le tremplin à partir duquel il a pu gravir les échelons de l’industrie.

Même si sa carrière allait bon train chez Grey Power, il était toujours attiré par l’aviation. Un directeur lui a suggéré de s’inscrire au programme de PAA, mais il s’est d’abord montré réticent. « Je n’étais pas prêt à m’engager dans une carrière dans le domaine [de l’assurance]. » Il s’est tout de même laissé convaincre de suivre un cours à titre d’essai et il a choisi un cours sur les notions de base liées au métier de courtier. Il a trouvé le cours si intéressant qu’il a décidé d’obtenir son titre professionnel. « J’ai compris très vite, en suivant les cours du programme de PAA, à quel point l’industrie de l’assurance est intéressante et complexe et comporte de multiples facettes. »

Au cours des années suivantes, il a dirigé trois équipes axées sur la vente et les services. « Mon travail consistait à soutenir et à encadrer les employés ainsi qu’à les motiver à atteindre les objectifs stratégiques de l’entreprise. » En 2015, il a fait son entrée au siège social d’Intact assurance à titre de directeur du développement des affaires, dans le réseau de distribution par courtier. Au bout de deux ans, le changement était encore au rendez-vous, et Kamran est passé à l’assurance des particuliers, puis, deux années plus tard, à l’assurance des entreprises, un domaine tout à fait nouveau pour lui à l’époque. Son statut de membre de la Société des PAA, un avantage qui vient avec l’obtention du titre professionnel, s’est avéré être un précieux atout. Il avait toujours consulté les publications de l’Institut d’assurance, en plus d’assister aux rencontres de réseautage et de profiter des occasions de mentorat, mais il a découvert les autres avantages dont il bénéficiait en tant que diplômé. « L’une des premières choses que j’ai faites a été de m’inscrire à un séminaire sur les principes fondamentaux de l’assurance automobile des entreprises, qui m’a fourni une excellente vue d’ensemble de ce domaine. »

Tout en se familiarisant avec l’assurance des entreprises, Kamran a commencé à participer à des rencontres organisées par les Young Insurance Professionals de Toronto (YIPT). Ces activités lui ont permis de rencontrer des collègues et de nouer de nouvelles amitiés au sein de l’industrie. Il a commencé à prendre part à des panels lors de rencontres vouées aux carrières et au recrutement. En 2018, il s’est joint au programme de mentorat des YIPT afin d’agir à titre de mentor. Il a eu le sentiment de boucler la boucle. « Je dois beaucoup aux directeurs et aux mentors que j’ai connus au fil des ans, qui m’ont donné de précieux conseils sur les possibilités et les choix qui s’offraient à moi. C’est pourquoi il est si important pour moi de redonner à ma collectivité en aidant les employés qui débutent dans le métier. » Un an plus tard, Kamran s’est vu décerner le prix du jeune professionnel de l’année, en reconnaissance de l’excellence de sa contribution.

Le bénévolat occupe une place centrale dans la vie de Kamran. Il œuvre au sein du partenariat établi par Intact avec Centraide. Il dirige également un organisme de bienfaisance dont il est le cofondateur et qu’il a créé à la mémoire de son frère. La bourse d’études Mehran Afshar a permis d’amasser plus de 65 000 $ à l’intention des jeunes dans le besoin qui souhaitent étudier dans le cadre d’un programme de formation continue.

Treize années après le début de sa carrière, Kamran éprouve toujours autant d’enthousiasme à l’égard de son travail. Il a trois conseils à donner aux personnes qui entreprennent une carrière en assurance :

  • N’arrêtez jamais d’apprendre : « Je crois que nous avons tendance à nous installer confortablement dans notre emploi, mais iI importe, pour réussir, d’apprendre et de progresser de façon continue. »
  • Ne manquez pas de saisir les occasions qui se présentent à vous : « J’ai occupé un bon nombre d’emplois différents, dont certains pour lesquels je ne me sentais pas adéquatement préparé, mais en rétrospective, je constate que ces défis m’ont permis d’évoluer tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel. »
  • N’hésitez pas à demander de l’aide : « L’industrie compte de nombreux leaders qui sont prêts à apporter leur aide lorsqu’on fait appel à eux. N’ayez pas peur de demander de l’aide et des conseils, ou de solliciter l’assistance d’un mentor, tout au long de votre cheminement. »

D’un emploi temporaire à une brillante carrière, le parcours professionnel de Kamran est remarquable, et la prochaine étape sera sans doute tout aussi impressionnante.




Andrea


Une journée dans la vie de… Andrea Vollans, analyste d’affaires


La formation continue et la progression professionnelle ont aidé Andrea Vollans à décrocher l’emploi de ses rêves. « Dans un contexte où les principaux emplois de l’industrie semblent en constante transformation et où de nouvelles fonctions font sans cesse leur apparition, l’industrie de l’assurance a quelque chose à offrir à tous, dit Andrea. Une carrière en assurance vous permet de mettre à contribution vos passions, vos compétences et votre formation, que ce soit dans le domaine du sport, de la musique, du cinéma, des techniques ou des affaires; c’est un domaine où vous pouvez entreprendre un parcours à votre image. »

Andrea a fait son entrée dans l’industrie dans des circonstances inhabituelles, à la suite d’un accident qui l’a forcée à revoir ses projets de carrière. Mais elle n’a jamais regretté quoi que ce soit et éprouve un sentiment de gratitude quand elle pense à la multitude de possibilités que l’assurance lui a fournie.

Forte de plus de 13 années d’expérience, Andrea a cheminé dans l’industrie de l’assurance en étant constamment habitée par un désir d’apprendre et de progresser afin de répondre aux besoins de ses clients, dans un domaine en constante évolution.

Les débuts

À la suite d’un accident qui lui a causé une facture des deux pieds, Andrea ne savait plus trop vers où se diriger et a dû réévaluer ses possibilités de carrière. Après avoir quitté son emploi de monitrice de camp de vacances, elle a songé retourner aux études. Un jour, un ami lui a annoncé qu’un cabinet de courtage de la région était à la recherche d’un nouveau courtier. Cette occasion inattendue a piqué sa curiosité.

« J’ai décidé de faire un essai, en attendant de savoir ce que j’aurais envie de faire plus tard, raconte-t-elle, mais je suis devenue fascinée par l’industrie et j’ai découvert qu’elle recelait toutes sortes d’activités qui me plaisaient vraiment, en particulier communiquer avec les gens et leur venir en aide. »

Le parcours d’Andrea en assurance

Aujourd’hui, au terme de plus d’une décennie dans l’industrie de l’assurance, Andrea a eu l’occasion d’occuper une grande variété de postes. Elle a commencé dans un cabinet de courtage de sa région, où elle a appris les rudiments du métier, puis elle a fourni des services de courtage par téléphone à des clients de partout en Ontario. Peu après, comme elle voulait approfondir sa compréhension de l’industrie, elle a cherché à relever de nouveaux défis. « Je voulais acquérir de l’expérience dans un cabinet de courtage plus traditionnel », explique-t-elle.

Andrea a trouvé un nouvel emploi au sein d’une entreprise dont la philosophie était fondée sur l’importance de la formation continue et qui incitait ses employés à mettre cette philosophie en pratique. « L’entreprise au sein de laquelle je travaillais m’appuyait dans ma volonté d’approfondir mes connaissances et a payé les cours que j’ai suivis en vue d’obtenir de nouveaux titres professionnels », dit Andrea.

Pendant cette période, Andrea a également eu l’occasion d’élargir son réseau, grâce aux fonctions qu’elle a occupées à titre de secrétaire, puis de trésorière au sein du conseil d’administration de l’association de courtiers de sa localité.

Andrea est également devenue ambassadrice de l’Institut d’assurance, une activité qu’elle adore. « Ces fonctions m’ont donné l’occasion de partager ma passion pour l’industrie de l’assurance avec des personnes en recherche de carrière qui voulaient trouver leur voie », précise-t-elle.

Mais Andrea ne s’est pas arrêtée là.

« Au bout de quelques années, j’ai de nouveau voulu approfondir mes connaissances et acquérir une plus grande expertise, et une occasion d’obtenir l’emploi de mes rêves s’est présentée à moi. Même si ce fut une décision extrêmement difficile à prendre, j’ai quitté mon emploi au cabinet de courtage et cessé mes activités au sein du conseil, car je ne pouvais pas laisser passer cette chance de progresser sur le plan professionnel et d’évoluer dans un tout nouveau domaine de l’industrie : l’assurance fondée sur la technologie. »

Aujourd’hui, Andrea met à profit ses années d’expérience au sein de l’industrie de l’assurance ainsi que sa passion pour la technologie dans le cadre de son poste d’analyste d’affaires. Ses fonctions consistent à effectuer une surveillance des nouvelles tendances et des nouveaux produits qui font leur apparition dans l’industrie, dans le but de mettre au point de nouveaux outils, d’augmenter les fonctionnalités des logiciels d’application personnalisés et d’améliorer les processus de comparaison des prix ainsi que le flux des travaux, pour les courtiers.

Le passage au domaine de l’assurance fondée sur la technologie (ou insuretech) n’a pas été facile, mais dans l’industrie de l’assurance, les nouveaux défis ne manquent pas, et c’est précisément cet aspect qu’Andrea en est venue à apprécier tout particulièrement. Elle éprouve une grande satisfaction personnelle et professionnelle lorsqu’elle fait usage de la connaissance qu’elle a acquise de l’industrie afin de contribuer à l’élaboration d’applications et de logiciels qui aident les courtiers à bien faire leur travail.

Pourquoi avoir choisi l’assurance?

Andrea apprécie au plus haut point le fait qu’elle ne s’ennuie jamais dans le cadre de son travail dans l’industrie. « Je crois que j’ai commencé à travailler dans l’industrie par nécessité, mais que j’y suis restée parce qu’elle répondait à mon désir d’évoluer et d’apprendre constamment », affirme-t-elle. Elle tire un grand plaisir et une grande satisfaction de son parcours de carrière, qu’elle a tracé à l’enseigne de la croissance personnelle et professionnelle.

Conseils et idées

Lorsqu’on lui demande quels conseils elle donnerait aux professionnels qui s’interrogent sur leurs possibilités de carrière dans l’industrie de l’assurance, Andrea répond qu’il faut vraiment faire fi des idées préconçues sur ce que devrait être un parcours professionnel. « Ne croyez pas que votre carrière devrait être linéaire ou qu’elle devrait se conclure dans le même domaine que celui où elle a commencé, ni que vous devriez occuper le même emploi du début à la fin. L’industrie de l’assurance offre une myriade de possibilités. Comprenez vos passions et explorez tout ce que l’industrie a à vous offrir. »




Faits intéressants sur l’assurance

Faits intéressants sur l’assurance


  • Saviez-vous qu'il existe des garanties pour les enfants qui promènent des chiens ou qui vendent de la limonade? Eh oui! Elles permettent de s'assurer contre les pots cassés, les chiens égarés ou — même — les malaises provoqués par des citrons qui se révèlent… des citrons!
  • Mars sera le Mois de l'histoire des femmes, et la Journée internationale des femmes aura également lieu en mars. Pour souligner les deux, voici quelques données démographiques sur l'industrie de l'assurance : 62 % des personnes œuvrant en assurance s'identifient comme des femmes; 49 % d'entre elles occupent un poste de gestion, et 36 %, un poste de direction. Autrement dit, statistiquement, le « visage » de l'industrie de l'assurance de dommages est une personne de 42 ans s'identifiant comme une femme et qui, selon toute probabilité, dirige un service des sinistres ou de souscription.
  • Les boutiques éphémères sont le nouveau moyen à la mode qu'utilisent les entreprises pour offrir leurs produits aux clients. Mais malgré leur nature temporaire, elles comportent tout de même des risques, dont certains qui ne sont pas nécessairement couverts par une assurance des entreprises ordinaire. Entreprises et détaillants n'ont pas à s'inquiéter, toutefois : oui, il existe des assurances pour ces boutiques!



Réussir un examen grâce aux conseils de nos lauréats

Réussir un examen grâce aux conseils de nos lauréats


La période des examens approche à grands pas. Nous avons demandé aux plus récents lauréats des prix de l’Institut quels seraient les meilleurs conseils qu’ils pourraient vous donner, en matière de méthodes d’étude, afin de vous aider à passer votre examen dans les meilleures conditions possibles. Nous espérons que ces conseils vous seront utiles pour vous préparer à vos examens et vous y présenter en toute confiance.

Mettez sur pied un groupe d’études

De nombreux étudiants dont des collègues ou des amis sont inscrits aux mêmes cours trouvent qu’il leur est utile d’étudier en groupe. Cette façon d’étudier permet de poser un regard différent sur un sujet ou une notion, de partager des points de vue avec d’autres et de répondre aux questions des collègues. Souvent, le fait d’expliquer les choses verbalement aide à mieux retenir les notions.

« J’essaie de trouver le moyen de relire mes notes de cours lors de mes pauses, au travail, même si je ne dispose que d’une heure. J’aime aussi discuter des différentes notions que je comprends moins bien avec mes collègues de l’industrie », dit Kouame Ahou Nadege.

Répondez aux questions de révision

De nombreux étudiants répondent aux questions de révision proposées dans les manuels de cours, les guides de ressources de l’étudiant et les tutoriels en ligne afin de vérifier leurs connaissances. Les animateurs recommandent de rédiger les réponses aux questions de révision puis de les lire à haute voix, tout en fournissant des exemples pratiques pour chaque question. N’oubliez pas que les examens comportent des questions objectives, des questions nécessitant une réponse brève et des questions à développement.

Évitez d’étudier à la dernière minute

Évitez d’attendre jusqu’à la dernière semaine ou jusqu’aux deux dernières semaines avant un examen pour commencer à étudier. Tous les étudiants ont souligné l’importance de prendre le temps, chaque semaine, de lire et de réviser un chapitre ou un objectif d’apprentissage du manuel. Cette habitude peut contribuer à réduire le stress et la pression que l’on éprouve souvent à l’approche de la date de l’examen.

Anya Biryuk a indiqué qu’elle trouvait utile de relire les chapitres avant chaque séance de cours hebdomadaire et qu’elle consacrait au moins six heures par semaine à l’étude.

Trouvez le mode d’apprentissage qui vous convient et planifiez en conséquence

Apprenez et étudiez en adoptant la méthode qui vous convient afin de tirer profit au maximum du temps et des efforts que vous y consacrez. Trouvez ce qui fonctionne le mieux pour vous et établissez un plan d’étude qui convient à votre style de vie. Par exemple, de nombreux étudiants préfèrent lire la matière figurant dans le manuel, puis rédiger ce qu’ils ont retenu ou réciter la matière à voix haute à plusieurs reprises.

Alex Papakonstantinou explique sa méthode : « Je commence très tôt la rédaction des notes, habituellement au moins trois mois avant l’examen final, car ce travail peut exiger jusqu’à 80 % du total des heures consacrées à l’étude. Le fait d’écrire en procédant à des énumérations par points ou sous forme de liste m’aide également à mieux retenir la matière. »

Le jour de l’examen

Restez calme et détendez-vous avant l’examen. Lisez les questions deux fois avant d’y répondre. Certains étudiants et animateurs de cours recommandent de répondre en premier aux questions dont vous connaissez la réponse, afin de stimuler votre intellect en prévision des autres questions.

Voici certains renseignements importants au sujet du processus d’examen :

Avant l’examen final

  • Confirmez la date ainsi que l’heure et le lieu de votre examen, en accédant à votre compte de membre en ligne.
  • Les étudiants peuvent changer la date de leur examen jusqu’à deux semaines avant le début de la période d’examens.
  • Pour obtenir de plus amples renseignements sur les dates et les heures des examens, rendez-vous à la page EHoraire des examens

Le jour de l’examen final

  • Assurez-vous de connaître votre numéro de membre ainsi que votre mot de passe, afin de pouvoir vous connecter et accéder à votre questionnaire d’examen informatisé.
  • Au début de la séance d’examen, les étudiants doivent présenter une pièce d’identité avec photo reconnue par les autorités gouvernementales.
  • Les étudiants qui n’ont pas de pièce d’identité avec photo reconnue par les autorités gouvernementales ou qui ne connaissent pas leur numéro de membre vont devoir reporter leur examen à une date ultérieure et seront susceptibles de devoir acquitter des frais de report.
  • Pour une liste complète des règles à suivre, rendez-vous à la page Règlements sur les examens.

Après l’examen final

  • Les étudiants recevront un message par courriel les avisant que leurs résultats d’examen sont disponibles. Veuillez vous assurer que votre profil de membre est à jour.
  • La date de publication des résultats peut varier selon le cours. Pour de plus amples renseignements à ce sujet, rendez-vous à la page Résultats et notation.
  • Les étudiants qui n’ont pas obtenu la note de passage peuvent en appeler de leur résultat d’examen. Pour de plus amples renseignements à ce sujet, rendez-vous à la page Appels.

Si vous souhaitez obtenir plus de conseils pour mieux étudier en vue de réussir votre examen, consultez notre page Comment vous préparer à votre examen, sur notre site Web.




Le babillard

Le babillard


Le temps est bientôt venu de renouveler votre adhésion

Comme vous le savez, l’année d’adhésion s’échelonne du 1er juin au 31 mai. Nous enverrons donc bientôt les avis de renouvellement d’adhésion pour 2020-2021. En renouvelant sans tarder votre adhésion, vous pouvez continuer de poursuivre vos objectifs en matière de formation, de bénéficier d’occasions de perfectionnement professionnel et d’avoir accès à des renseignements à jour et à des nouvelles fraîches en provenance de l’industrie.

Si votre employeur participe à notre programme de facturation, vous pourriez ne pas recevoir de facture, car c’est le service des ressources humaines de votre entreprise qui traitera ladite facture. Si, par contre, vous recevez une facture de renouvellement ou êtes un membre dont les frais de renouvellement sont facturés individuellement, nous vous serions reconnaissants de répondre rapidement. En gardant à jour, dans votre profil de membre, les renseignements concernant votre employeur ainsi que vos autres coordonnées, vous ferez en sorte que votre facture de renouvellement parvienne à destination sans délai. En assurant le renouvellement de votre adhésion dans les délais prescrits, vous éviterez toute interruption de service et continuerez d’avoir accès à des renseignements à jour et à des nouvelles fraîches en provenance de l’industrie.

Restez en contact

Vos coordonnées ont-elles changé? Aidez-nous à vous tenir au courant.

L’Institut d’assurance est là pour vous aider à améliorer votre vie professionnelle et pour vous tenir au courant des dernières nouveautés dans l’industrie ainsi que des nouvelles occasions d’apprentissage qui pourraient vous intéresser. Nous élaborons constamment de nouveaux séminaires, de nouveaux cours et de nouvelles activités à l’intention des professionnels de l’industrie. Cependant, pour que nous puissions vous tenir au courant de ce qui se passe dans l’industrie, vos coordonnées doivent être à jour.

Avez-vous changé d’emploi? Avons-nous votre adresse de courriel?

TL’Institut s’efforce d’adopter des façons de faire soucieuses de l’environnement en envoyant plus de communications par courriel. Par conséquent, si vous n’avez encore rien reçu de nous par courriel, il se peut fort bien que nous n’ayons pas votre adresse de courriel ou que celle-ci soit erronée.

Il est très facile de mettre à jour votre profil.Il vous suffit d’ouvrir une session en tant que nouvel utilisateur ou qu’utilisateur déjà inscrit, de cliquer sur « Mon profil », puis de mettre vos coordonnées à jour. C’est simple et rapide! En même temps, n’oubliez pas que vous pouvez vérifier sur notre site Web les cours, séminaires et événements offerts, vous y inscrire et régler vos frais d’inscription, dans le confort de votre domicile ou de votre bureau.

Les diplômés de distinction

L’obtention d’un titre de PAA est déjà remarquable en soi. Il est donc d’autant plus remarquable d’obtenir ce titre avec mention Grande distinction, c’est-à-dire en obtenant cette mention dans huit des 10 cours du programme de PAA. Les diplômés suivants, élus cette année, ont reçu leur diplôme avec mention Grande distinction à l’occasion des galas des lauréats qui ont eu lieu cet hiver :

Professionnels d’assurance agréés

Yunzhe (Claire) Li

Swiss Reinsurance Co. Canada (Ontario – agglomération de Toronto)

Randy Manku

Coachman Insurance Company (Ontario – agglomération de Toronto)

Zhiquan Pan

Royal & Sun Alliance Insurance Co. of Canada (Ontario – agglomération de Toronto)

Virginie Burguin Ripoll

Desjardins Assurances générales (Québec)

Francina H. Sikkema- Smolders

La Compagnie mutuelle d’assurance Wawanesa (Ontario, agglomération de Toronto)

Lindsay Tobin

Johnson Inc. (Ontario – agglomération de Toronto)

Toutes nos félicitations à ces diplômés remarquables!

Adieu l’hiver, voici les examens!

Depuis le printemps 2017, tous les examens couronnant les cours des programmes de PAA et d’Introduction aux assurances I.A.R.D. sont offerts en format informatisé.

Les examens auront lieu dans des centres d’examens surveillés, à différentes dates entre le 1er et le 23 avril. Une fois la période d’inscription terminée, le calendrier des examens peut être consulté sur notre site Web.

Le temps alloué est de trois heures pour les examens du programme de PAA et de deux heures pour ceux du programme d’Introduction aux assurances I.A.R.D. Bonne chance!




Société des PAA


Nouvelles de la Société des PAA


Notre nouvelle étude sur les risques climatiques est disponible

Le mois dernier, l’Institut, en collaboration avec la Société des PAA, a publié une importante étude portant sur les conséquences des événements météorologiques extrêmes et des changements climatiques sur l’industrie de l’assurance de dommages au Canada. L’auteur du rapport est Paul Kovacs, chercheur principal à l’Institut d’assurance ainsi que fondateur et directeur général de l’Institut de prévention des sinistres catastrophiques.

L’étude cherche à définir les actions nécessaires pour pouvoir faire face aux risques et saisir les occasions qui découleront de l’augmentation prévue des risques physiques, des risques de responsabilité et des risques de transition associés au climat. Les six questions cruciales suivantes sont abordées en détail :

  • Quels sont les changements climatiques attendus au Canada?
  • Pourquoi s’attend-on à une augmentation des dommages matériels?
  • Qui sera tenu responsable des conséquences climatiques?
  • Comment la société effectuera-t-elle la transition vers la carboneutralité?
  • Quels changements réglementaires pourraient toucher les assureurs?
  • Comment les assureurs se sont-ils adaptés à des phénomènes météorologiques plus extrêmes?

Pour en savoir plus et lire l’étude

La période de mise en candidature pour les prix nationaux du leadership a débuté

Les prix nationaux du leadership de la Société des PAA ont pour but de rendre hommage aux membres de la Société des PAA qui se démarquent par leurs contributions exceptionnelles à leur entreprise et à l’industrie dans son ensemble ainsi qu’à leur collectivité.

Ces prix sont décernés dans deux catégories distinctes : Leader en devenir et Leader actuel. Les lauréats reçoivent leur prix à l’occasion des galas qui ont lieu dans les différentes régions du pays et sont admis dans le prestigieux Cercle du leadership, qui comprend actuellement 42 distingués leaders.

En prenant part à la recherche de candidats, les membres de la Société des PAA peuvent jouer un rôle important pour faire en sorte que les prix nationaux du leadership demeurent pertinents pour le milieu de l’assurance de dommages au Canada.

Proposez une candidature dès aujourd’hui

Connaissez-vous une personne qui, selon vous, mérite d’être admise dans le Cercle national du leadership de la Société des PAA? Commencez le processus de mise en candidature dès aujourd’hui en remplissant un questionnaire qui vous aidera à déterminer si votre candidat ou candidate possède les différentes qualités de leadership recherchées dans le cadre du programme des prix nationaux.

La documentation de mise en candidature comprend un formulaire dans lequel on vous demandera d’indiquer en quoi votre candidat ou votre candidate correspond aux critères et de faire état de ses réalisations et de ses contributions. Il vous faudra également accompagner ce formulaire dûment rempli de plusieurs lettres de recommandation signées par d’autres membres de l’industrie qui connaissent bien la personne dont vous proposez la candidature. Pour faciliter le processus, nous vous fournirons un guide de mise en candidature et serons disponibles pour répondre à toutes vos questions.

Le dossier de candidature complet doit nous parvenir au plus tard le 30 juin.